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| Passionnément |
Raoul : Le silence |
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Une biographie du silence !
On le découvre ici sous tout ses aspects, du gluant (oh, bon sang, comment que c'est bien, ce mot-là !) jusqu'à "Alors on se tait".
l'obséquieux qui plombe en un silence méprisant versus un murmure en frissons d'automne : celui qui se tait pour dire et celui qui dit en un murmure perdu.
Je suis épatée du traite... (10/3/2021) |
| Beaucoup |
Kodiak : La ballade des embruns |
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Le thème est vraiment bien traité, pas une once de pathos, mais au contraire une empathie positive.
Que ce soit les paroles ou l'interprétation, tout concourt à un message clair, pour un peu, on se croirait dans un monde équilibré (ça c'est une vanne !)
La métaphore de la mer, si elle n'est pas nouvelle, est ici très juste, et donne un côté ... (8/3/2021) |
| Bien ↑ |
Ligs : Neige |
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J'aime ce que laisse cette lecture, un sentiment d'apaisement.
La neige recouvre tout, feutre les bruits, et on peut s'oublier, oublier les problème ou le mal-être et se reposer sur du blanc, l'esprit propre.
je regrette un peu trop d'adverbes : quatre en quatre lignes ! qui auraient, pour la plupart, être échangé contre des images parlantes... (7/3/2021) |
| Beaucoup |
Hec4 : Entre le vide et la torture |
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L'emprise.
Il est très bien dit ici que si rien d'autre que le vide ne peut la remplacer, alors ce vide ne fera pas le poids.
les émotions fortes sont ce que l'on recherche.
le vide et son illusion de paix, de repos.
Ce passage :
"J’ai compris qu’il était comme toi : hypocrite baratineur qui sème au vent ses belles promesses et qui se m... (4/3/2021) |
| Bien |
Lariviere : Maïakovski |
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Je ne connaissais pas ce poète, je remercie donc l'auteur d'ouvrir un champ plus vaste à mes connaissances. D'autant plus que le peu que j'en ai trouvé traduit en français m'incitera à chercher plus.
la forme adoptée ici semble "typique" de celle de l'auteur, de ce point de vue, je m'y retrouve bien. Peut-être que si c'était moins "relaté", j'a... (4/3/2021) |
| Beaucoup ↑ |
embellie : Pugilat |
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C'est un très beau regard sur la nature et sa force.
Il n'y a que regarder, tout bouge autour de nous, et le talent est ici : savoir en surprendre l'essence, le mettre en mot et, comme un clin d'oeil, le ramener à sa juste valeur : une querelle de voisinage !
c'est tout à fait bien observé.
merci pour ce joli texte ! (3/3/2021) |
| Beaucoup |
papipoete : Première neige |
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Ce que vraiment j'adore dans ce poème, c'est que l'auteur nous offre le blanc de la neige, mais réhaussé de tant de couleurs !
Ainsi donc, le manteau n'écrase rien, mais tout passe, et le redoux a tôt fait d'effacer tout, blanc et couleurs.
Dans la troisième strophe, j'aurais utilisé un point d'exclamation pour rendre plus clair :
las ! au ma... (3/3/2021) |
| Bien |
Donaldo75 : Attraction |
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Voici un enracinement qui a de la force.
J'ai des petites critiques, je peux ? :))) merci.
En fait, je suis sans doute partiale et tentée d'apprécier l'image de ce beau champignon.
Mais reprenons-nous, ne nous laissons pas avoir.
Je trouve le rythme imprimé par toutes ces virgules un peu trop lancinant. Ce qui enlève de la force à cet... (1/3/2021) |
| Beaucoup ↑ |
Edgard : La mer |
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La mer c'est si grand...
c'est un très beau poème, où la poésie transcende sans effort un pathos qui plomberait.
Il y a ici une légèreté, du paysage, de la petite Margot, et il fait si bon regarder la mer. juste regarder la mer...
J'aime beaucoup le vocabulaire recherché sans qu'il soit abscon, tout au contraire est lumineux.
C'est ce qu... (24/2/2021) |
| Beaucoup |
Myo : Lorsque tremble l'hiver |
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Je trouve très fort d'avoir écrit un si bon poème sur ce sujet, sans que ne nous traverse l'idée de pathos, de s'apitoyer sur soi.
Tout est dit sur le coup de massue, sur l'incertitude, mais il faut penser que nos chants recouvreront la grâce.
"appris le sourire au brillant des regards" : c'est très bien exprimé; j'ai remarqué que l'on app... (24/2/2021) |
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