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Beaucoup |
MissNeko : Tableau de maître |
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Extraordinaire ! Dès la première strophe je me suis retrouvée dans l'atelier du Maître, face à la toile sur laquelle prend forme le portrait. Ce que j'ai tout particulièrement apprécié c'est la personnalisation du tableau qui
"...s’anime,
se dévoile de tout son long,
renversant au passage
feutres, encres et Canson.
Il s’accapare l’ouvra... (19/1/2017) |
Beaucoup ↑ |
Pouet : Panorama violon |
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Panorama de souvenirs tout en élégance, tendresse et douceur. Du premier au dernier vers, la poésie est si présente qu'elle pourrait, je pense, inspirer un violoniste dont l'accompagnement la magnifierait.
Ces "Je me souviens" qui me séduisent tout particulièrement :
" De ton cœur qui filait au sable de mes doigts.
La tendresse apprentie d... (18/1/2017) |
Bien |
Michel64 : Alors les dieux, là-haut ! |
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Amusant en effet ce poème surtout qu'en ces temps nous ne manquons pas d'exemples d' "hominuscules" se bousculant pour se placer au premier rang et se faire applaudir.
Aucun heurt à la lecture bien rythmée sauf ce vers :
" N'avez-vous senti là quelque chose qui cloche ?"
C'est le "là" qui m'a arrêtée dans cette lecture fort plaisante, peut-êt... (17/1/2017) |
Beaucoup ↑ |
Vincendix : La pie, le corbeau et le rossignol |
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Ravie par cette fable bien tournée. Les échanges entre la pie et le corbeau sont du meilleur goût. Certes, quelques inversions de langage peuvent surprendre car peu courantes de nos jours, mais je trouve qu'elles s'intègrent parfaitement à la "solennité" du propos moralisateur. (7/1/2017) |
Bien ↓ |
archibald : Une part d'humanité |
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" Qui n’a jamais connu le dégoût d’être un homme
Ne saurait assumer sa part d’humanité."
Ces deux vers m'interpellent et il m'est impossible d'adhérer à l'idée qu'ils véhiculent : tendance à réduire et globaliser à la fois, l'Homme et l'humanité à la part que nous en connaissons en tant qu'individu ou groupe humain avec son histoire, ses perc... (6/1/2017) |
Beaucoup |
Pouet : Sur le fil des saisons |
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Délicat et léger ce poème dépeignant la solitude du petit garçon accompagnée par la succession des saisons. Peut-être est-ce la forme choisie par l'auteur qui me laisse cette impression après lecture. En fait, pas de tristesse ou de révolte en lui. Il s'accommode au mouvement universel de la nature qui l'entoure car "En son esprit la vie résonne... (30/12/2016) |
Beaucoup ↑ |
papipoete : Amnésie |
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Bonjour Papipoète ! Le fond et la forme me séduisent beaucoup dans ce poème. Cette approche légèrement humoristique dédramatise le problème des "fuites" dans la mémoire.
La régularité du rythme, les questions qui se bousculent dans la tête et les strophes qui vont s'amenuisant jusqu'au final : "Je ne suis plus le maître à bord de mon esprit." t... (30/12/2016) |
Bien |
luciole : Crépuscule |
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Inattendue et perspicace description d'un crépuscule sur un milieu urbain industrialisé désaffecté.
Seul bémol pour moi : l'obligation de lier le second quatrain au dernier vers du premier par ces seuls mots "Du soleil." Ce chevauchement m'a aussi gênée à la lecture. (28/12/2016) |
Bien |
Leverbal : Mort laid |
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La lecture du post 2 du forum ouvert pour cette publication me conforte dans l'idée que je m'étais faite de ce poème :
- Première partie relative à l'une des trajectoire depuis " C'est le chemin vers la grisaille." jusqu'à ... "Le mouvement est bref, le résultat escompté." Nous cheminons, paisiblement, aussi curieusement que cela paraisse, da... (28/12/2016) |
Bien ↑ |
Yavanna : Un rien qui vaille |
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La première strophe me séduit tout particulièrement. Le temps, la brume, l'écho exprimés en nuances subtiles créent une atmosphère évanescente dans laquelle ce "rien qui vaille" vient se glisser tout naturellement.
La seconde strophe est aussi agréable et intéressante mais, à ce que je ressens, un degré en dessous de la poésie émanant de la pre... (19/12/2016) |
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