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| Beaucoup ↓ |
Lariviere : Fragment de rêve : Sonia |
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Je rejoins Argos2. Lariviere possède le style dont la richesse permet de tout conter. Même le banal. (28/10/2007) |
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Twinkle : La pêcheuse de la rivière Liu |
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Un joli petit conte. Le style, simple, suggère de belles images extrême-orientales. (28/10/2007) |
| Beaucoup ↓ |
Lariviere : Vie binaire |
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L’art de se priver du verbe.
Style original à la banalité voulue. Ces deux existences tristounettes m’ont fait penser une fois de plus à la sempiternel question, souvent dramatique pour ceux qui se la pose sans pouvoir y répondre : Être ou avoir ? Avoir pour être est souvent avoir peu et ne pouvoir être, ou avoir beaucoup sans parvenir à être. (27/10/2007) |
| Bien |
jensairien : Le Pont de l'Alma |
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Il m’a semblé que dans cette histoire un peu surréaliste, tu as cherché à donner une personnalité à ton personnage narrateur. Tu as évité ainsi la construction linéaire de plates énumérations de faits enchaînés, et les personnages sans relief.
Tu as cherché à jouer avec les mots et parfois tu en as trouvé de bons. Je m’y suis perdu quelques fo... (26/10/2007) |
| Bien |
Gaelle : Trente minutes avant d'être en retard |
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C’est vrai, il y a des invraisemblances. Mais nous sommes dans la catégorie noir/thriller, où cela est souvent admis. Oui, il y a une ambiance, qui peut plaire ou pas, mais qui est toujours présente.
Je pense d’ailleurs que cette atmosphère aurait dû être plus travaillée encore, par le comportement plus détaillé des personnages, par la descript... (20/10/2007) |
| Bien ↓ |
Aldaron : Samedi soir sur la terre |
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Il y a dans cette nouvelle d’abord la nostalgie de la jeunesse perdue, suite au décès d’un ami. Puis, par le biais des souvenirs, le texte suit une progression heureuse : la timidité et la fraîcheur naïve typiquement masculine de la première rencontre, l’entrevue du bonheur, et puis… je ne dévoilerai pas la suite pour les lecteurs qui lisent les... (15/10/2007) |
| Beaucoup ↑ |
TITEFEE : Le fantôme du croisé de Crussol |
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Cette nouvelle m'a d'abord ramené à l'enfance, les livres de chevalerie... puis la fin à la triste réalité. Car malheureusement le fantôme du croisé de Crussol va errer longtemps encore avant que les hommes cessent de prendre leurs dieux pour prétextes.
Comme toujours, c'est bien écrit... (1/10/2007) |
| Beaucoup ↓ |
Cyberalx : La petite fille du cimetière |
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Une première partie claire, sans fioriture, efficace par sa simplicité. Puis, la porte du cimetière poussée, le dialogue mené dans une « atmosphère réelle » ne permet pas avant la fin d’imaginer la chute.
Bravo Cyberalx. (1/10/2007) |
| Bien ↓ |
Iris : V o l e p e t i t p a p i l l o n , v o l e … |
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Le charme désuet de ce petit papillon m’a enchanté. Malheureusement, quelques phrases trop longues, quelques mots mal choisis, l’ont parfois rompu.
Exemples :
« Si cette solitude aurait peut-être frustré une autre, Catherine aimait à être oubliée. » ( ?)
« …qui représenteraient des époux potentiels. » (Ce dernier mot sonne de façon tro... (10/9/2007) |
| Beaucoup ↓ |
guanaco : Le dictaphone ou petit "Conte" rendu |
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J'ai eu envie de connaître la suite dès la fin de chaque petit chapitre de cette nouvelle dont le coté fantastique n'est révélé qu'au dernier paragraphe.
C'est agréable à lire malgré quelques phrases un peu longues (mais bien construites).
Le coté "voyeur" est bien sauvé par la musique et les yeux d'Anja.
Bravo et merco Guanaco ! (8/9/2007) |
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