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Les évaluations de archibald

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Beaucoup LenineBosquet : Oh, la belle bleue !
J’ai un problème avec le dernier vers. Je trouve que le terme de sanies, mélange de sang et de pue, est un peu fort quand même, surtout sous la forme d’un geyser. Et puis “origine orifices”, sans doute choisi pour la parenté phonétique, relève d’une syntaxe qui m’apparaît curieuse. Pour le reste, c’est un texte qui tabasse ! Le vocabulaire qui... (25/4/2017)
Beaucoup Ramana : Ta cravate
Si j’interprète, je crois que ce poème signifie : 1 - T’es ridicule comme tu t’habilles (strophes 1 à 3). 2 - Fous-moi tout ça aux orties (strophe 4). 3 - Va faire un tour : sur l’océan / l’univers des mots ? (strophes 5 et 6) 4 - Quand tu reviendras, tu pourras t’habiller comme tu veux : tu auras changé radicalement (strophe 7). Le poème e... (19/4/2017)
Beaucoup papipoete : Ma petite Lhassa
Le cadavre vitrifié d’un enfant syrien, ça nous consterne, ça nous révulse, ça nous révolte… Mais la mort de notre chien ou de notre chat, ça, ça nous fait de la peine. On est bizarrement fait tout de même… Un thème très difficile ; j’ai souvent essayé, je me suis toujours vautré. Je crois que tu as trouvé le bon ton : de la douceur, de la légè... (18/4/2017)
Beaucoup ↑ Arielle : Jardin des anges
Quand un modeste rimailleur tombe sur un authentique poème, il se sent un peu bête et ne sait pas trop quoi dire. Surtout quand il arrive en vingt-troisième position et que les commentaires précédents on si bien analysé l'œuvre. Peut-être ceci : un poème graphique mais non dénué d'une certaine musicalité grâce à des octosyllabes déstructurés. ... (17/4/2017)
Passionnément ↑ luciole : Et les waters... mon cher Matson
Un poème qui n’est pas sans rappeler le fameux sonnet de Maurice Scève : “Ma vessie pour une lanterne”, dans lequel le grand poète de la Pléiade décrit les problèmes de cystite de Miss Marple. Mais ici, l’auteur a su apporter une tonalité moderne, notamment par l’usage du calembour et du contrepet. Le propos scatologique est mis à distance par l... (14/4/2017)
Beaucoup ↑ Cristale : Les manoirs de l'Iroise
Manifestement, c’est plus fort que toi. Je parle du choix du sujet. Je t’ai suffisamment taquinée sur ce point, j’arrête ici. C’est ta marque de fabrique, et puis c’est assez charmant au fond… De toute façon, l’essentiel est ailleurs. Avoir exhumé cette forme poétique est une idée enthousiasmante. Tu mets en valeur notre patrimoine littéraire e... (10/4/2017)
Un peu ↑ TITEFEE : Le kimono de soie - 1
Un poème orientaliste qui sonne très XIXème siècle. Cela nécessiterait à mon goût un traitement plus classique, notamment à la dernière strophe où les césures sont assez imprécises. On ouvre grand sa porte, et non grande sa porte : "grand" est ici un adverbe invariable. Il se dégage de ce texte une sensibilité poétique mais l'ensemble gagne... (7/4/2017)
Beaucoup hanternoz : La vieille façade
Et pourquoi pas du classique pur, je vous prie ? C'est encore cette foutue diérèse ! Vivra-t-on toujours sous le joug de Littré ? Qui prononce encore "anci-enne", "li-erre" ou "curi-eux" ? Pourquoi ne pas exiger des vers latins, tant qu'on y est ? Bon, je m'emporte, je m'emporte... Grands bravos sinon à l'auteur : c'est rudement bien troussé. ... (3/4/2017)
Bien Curwwod : Les oies marchent au pas
Je n'aime pas l'exergue, que je trouve un peu "adolescente". On n'écrit pas pour déplaire, on écrit pour plaire à soi-même, en espérant plaire à d'autres, quitte à déplaire. Je n'aime pas non plus le "prêtre pédophile", cliché à la mode, notamment chez bon nombre d'"humoristes". Je n'aime pas encore l'astérisque explicative. Il faut assumer l... (31/3/2017)
Un peu Dolybela : Sonnet à la Pomme
Un texte qui ne pourra pas passer en classique. Il y a des problèmes de coupes aux hémistiches : immortelle-s Ô, rouge-s en, intense-s à, palpable-s au, rouges/criant. Les rimes masculines sont trop pauvres également (il faudrait la même consonne d'appui). Les références à Dionysos, Aphrodites, Hélènes (avec un "S" ?), Pâris et Merlin m'échapp... (29/3/2017)
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