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Un peu ↑ |
wancyrs : Rituel |
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Plutôt prenant (malgré quelques écueils) ce petit récit d'anthropologue…
La dilatation du texte me gêne, même si ça parle de durée, que ça évoque des lignes de notes prises à la va vite dans un carnet, j'ai l'impression d'un texte cabotin à ce niveau là.
Le travail descriptif en focus est plutôt réussi, "l'étrangeté" de ce rite passe bien, ... (7/4/2013) |
Pas |
chris : Corps gelé |
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Descriptif et glacé, mais pour quoi faire…
Ce pourrait être un corps d'humain, ou de bébé phoque, on ne sait trop au fond, et on s'en fiche. L'écriture survole, comme en quelques plans esthétiques tirés d'un Millenium quelconque, avec la lenteur - qui signifierait la profondeur - et puis s'en va.
L'en lambeaux de ces vers devient gênant à f... (7/4/2013) |
Un peu ↓ |
Damy : Beau comme un Vermeer |
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Quand on regarde un Vermeer (un vrai, pas une reproduction) on est étreint, touché, il se passe qqc. D'aucun vont même jusqu'à défaillir devant un muret jaune, parait-il… À la lecture de votre sonnet, rien de tout cela.
On pourrait dire qu'il est bien écrit comme on dirait d'un trompe l'œil qu'il est bien peint, mais quoi d'autre.
Rien d'inn... (23/3/2013) |
Bien ↑ |
jeremiahjohnson : L'animal |
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Comme dirait L. Lantoine c'est de la chanson pas chantée dont le refrain narquois progressif nous signale que c'est une aubade (sourire).
Agréable et finement troussé, ça ne tombe pas dans les ornières poète-pouet, c'est plaisant, souriant et ça surf non nonchalamment sur l'air du porcin qui sommeillerait en chaque homme (en cette journée de la... (8/3/2013) |
Pas |
melancholia : Toi |
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Beaucoup de mal avec ce poème au nombrilisme maso. qui s'auto mutile. Outre le thème outré, le style balance entre l'ampoulé et le scolaire, et, dans un poème hyper direct (limite relâché) aux images convenues "l'intrusion" d'un passé simple ça surprend, mais pas dans l'heureux. Les rimes téléphonées n'arrangent rien. Je cherche un vers à sauver... (8/3/2013) |
Beaucoup |
Meaban : Les grandes portes de Kiev |
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Qualité et simplicité des images, avec un soucis du détail qui va jusqu'à l'humour, jusqu'au microscopique. Beau jeu d'échelles.
Je perçois l'idée du collectif qui œuvre (au moins le temps d'une concorde) pour un même idéal, ici musical.
Sensible à la rythmique, au balancement classique qui construit et maintient, on n'en est pas encore au sac... (19/2/2013) |
Beaucoup |
Meaban : Brinquebalances |
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Je suis enchanté par ce texte.
J'aime le travail fait sur le langage et sa rareté en devenir, donc, de métier qui n'est pas le jargon franglish actuel, loin s'en faut.
Et puis j'aime aussi comment la "bête humaine" de somme passe muette dedans, laissant, au bruit assourdissant des travaux le dessus, comme déjà vaincue.
On gamberge, on se tai... (8/12/2012) |
Un peu |
Pimpette : Vivement lundi… |
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De belles images - déjà signalées par d'autres lecteurs - avec une tendresse particulière pour le parpaing; mais aussi des lignes mélodiques très distendues et heurtées comme par exemple "Déboule la pente", "sanglot à peine", "broie en noir" que je ne trouve pas très heureuses, pas assez "coulantes" pour un blues… Par contre, j'aime bien la cont... (8/12/2012) |
Bien ↓ |
Arielle : Au bois |
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Je suis très partagé à propos de ce texte, deux avis contradictoires - pour paraphraser VH, justement - tempêtent sous mon crâne…
Poésie contemporaine dites-vous, je ne vois pas en quoi. Le thème est rebattu, éternel, le bucolique d'Épinal très XIX ième. est dans chaque vers (ne manquent plus que "J'ai deux grands bœufs dans mon étable") le st... (27/11/2012) |
Bien ↑ |
wancyrs : Visions |
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(avant lecture de ce qui est en discut')
Plus qu'un gentiment désuet calligramme, je vois en cet écrit le graffiti urbain qu'aurait pu laisser au coin du bloc un Samo passé nuitamment.
Des mots posés, issus de mondes différents qui se frôlent, se côtoient, fument ensemble autour d'un brasero, ceux des bouches, des trognes, des silhouettes -... (21/11/2012) |
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