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Vraiment pas |
sourdes : Trop plein de mots troués ! |
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Si certains éprouvent du plaisir à lire des phrases qui n'ont ni queue ni tête, moi pas. L'exercice est téméraire peut-être ! Je le trouve plutôt maladroit.
La forme impérative tantôt au singulier, tantôt au pluriel, dénote.
Trop de vers aux mots enchevêtrés qui perdent tout leur sens : "Pain perdu dans un pas de plus qui s'épluche, Peau de po... (24/10/2018) |
Pas |
Tankipass : Le dragon |
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En liminaire, je considère qu'un labyrinthe (et non labyrinte) composé de galeries (et non galleries) qui indiquent toutes la même sortie, n'est pas un labyrinthe. Ensuite, et pour des règles de sécurité évidentes, les grandes galeries commerciales sont toutes dotées de plusieurs entrées et sorties balisées.
Dans ce texte tout est amalgamé, la ... (24/10/2018) |
Vraiment pas |
daphlanote : Hometown |
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Première question que je me pose : combien vont oser s'aventurer à commenter un texte aussi hermétique ? Même la traduction du titre est hasardeuse. Quant à l'incipit, il ne faut pas compter dessus pour une aide à la compréhension.
A ce stade, une appréciation étant obligatoire, je procède donc à l'exécution de ma sentence. (22/10/2018) |
Bien |
Absolue : Débordement |
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Texte frustrant, parce que bien écrit mais trop bref. Du coup, il n'y a de débordement que dans le titre. On a envie de secouer cette plume élégante mais paresseuse.
Je note quelques ponctuations litigieuses.
N'ayez pas peur d'être prolixe la prochaine fois. (22/10/2018) |
Un peu |
PaulMUR : Elle était... |
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Cette présentation qui rend la femme mystérieuse tout en en faisant successivement une île, une source, un astre, un fruit, un jardin, un soleil, un matin, un miroir, a trop de longueur et ne peut résister aux tournures empesées :
"... Que mes paupières closes permettaient à mon nez de pouvoir respirer des parfums que jamais je n'ai pu retrouve... (22/10/2018) |
Pas |
Oslow : Je pense aux soleils sous le sol |
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Je ne comprends pas grand chose aux descriptions des visions que ce texte rend hermétiques.
"Déjà je sens et vois faiblir l'écho rampant d'anciens astres…" me plonge dans une totale nébulosité.
Et la suite me submerge : "A temps pour désigner le cerf, pour voir son sang bleu se répandre, à temps pour découper le nerf, voir la veine et l'œil s... (22/10/2018) |
Bien |
Queribus : Papa fait le jeune homme |
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Ah la crise des quarante ans ! Je ne pense pas en indigner beaucoup en ajoutant que les mamans sont tout autant concernées.
Chanson gentillette, écrite avec des mots simples et sans prétention.
Je ne suis pas du tout d'accord avec les quatre derniers vers qui n'apportent rien et devraient être supprimés :
"Papa fait le jeune homme
Avant d'êt... (22/10/2018) |
Un peu |
Castelmore : Les rats |
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La première strophe donne immédiatement le ton. Les outils de propagande nazis s'en donnaient à cœur joie en grimant les Juifs en rats. Je ne conçois cependant pas qu'un symbole religieux en forme de croix gammée puisse être "flambeau d'éternité". Deux tournures mériteraient d'être ajustées : "étouffent Liberté" et "les enfants d'Eternel".
L'ad... (22/10/2018) |
Pas |
Arthaume : Je vais bien |
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Pour répondre d'abord à l'incipit légèrement corrosif, oui je m'en fous complètement de la petite anecdote. Je comprends donc que ce texte a été écrit en état d'ivresse si j'interprète bien le message de l'auteur qui le poétise de curieuse manière : "Quand s'écrase la pluie battante du ciel gris sur ma pauvre âme qui s'enivre". Et bien, ça se vo... (22/10/2018) |
Passionnément |
papipoete : Au bas de Fourvière |
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Bonjour,
Votre poésie (chanson) me rappelle à 100 pour 100 une carte postale datée de 1958 figeant un vieil homme et son limonaire, dans un coin renfoncé de la place des Lices à Rennes, et son maigre attroupement sur le pavé mouillé ; L'ensemble transpirant la misère et l'indifférence.
Voici ce que j'appelle un texte "fort", égrenant ses émot... (20/10/2018) |
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