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Bien |
Absolue : Débordement |
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Texte très concis, à la lecture agréable. Deux remarques : le titre Débordement qui me semble peu en concordance avec le texte car je n'y trouve aucune profusion des sens ; enfin les virgules après épave (2ème vers) et fossette (11ème vers) qui coupent le sujet du verbe. (21/10/2018) |
Pas |
hersen : Tragi-comique |
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Malgré une idée originale et plutôt bien retracée, je n'aime pas le caractère morbide de ce texte qui s'appuie sur une tirade éculée.
Le clap clap clap fin de la pièce est sans doute l'ultime justification du titre. Je trouve qu'il dessert au contraire l'ensemble. (18/10/2018) |
Pas |
Bastien : Sans gêne ni déboire |
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Poésie très courte au fil conducteur ténu et qui ne mène nulle part.
On matraque nos soirs… On vit dans le décor… n'apportent aucune élégance à un texte à l'écriture paraissant bâclée et dont la teneur n'offre ni surprise, ni intérêt.
J'aurais aimé plus de caractère et moins de banalité. (17/10/2018) |
Vraiment pas |
Carmiquel : Ainsi parla Zara-Toustra |
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Trop d'incompréhension dans cette poésie dite contemporaine.
Et aussi oraculait Zorro-Astral !
aux zozos et aux castrats
aux Parsis de par là-bas
parataxe et galimatias
boulgli-boulga
Je suis submergée par ma lecture ; des jeux de mots sans drôlerie, des ponctuations ou plutôt absences de ponctuations qui ne facilitent pas le sens, des... (17/10/2018) |
Bien |
BlaseSaintLuc : Une case de vie |
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Un regard expressif sur un mal être très contemporain propre à la cité-dortoir et ses dérives : l'ennui. J'aime moins la dernière strophe dont je trouve l'écriture rugueuse; je rejoins certaines remarques faites sur la ponctuation. (16/10/2018) |
Un peu |
Pouet : Cloué |
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Je me noie un peu dans la première partie qui déborde d'analogies métaphoriques (Les immeubles ont des langues aux papilles de nuit - L'infirmière a des joues d'amputation mentale - Perfusions affamées aux penses de supplice…).
La deuxième partie (à partir de : Je m'endors sur les berges de mon délabrement) devient plus accessible et se lit san... (15/10/2018) |
Un peu |
EnnaLiarm : Le pianiste |
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Si le film m'avait marqué par l'interprétation magistrale de l'acteur principal et la force des images, je ne retrouve pas dans cette version le même ressort émotionnel et votre pianiste ne tient plus le premier rôle. Dès lors pourquoi ce titre et pas Le piano ?
Je pense que certains vers comme : Le prix de l'astre descendu orner une manche, so... (15/10/2018) |
Pas |
Sodapop : Le cœur robot |
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Je ne comprends pas grand chose à ce texte dont je ne possède malheureusement aucune clé de déchiffrement. Je comprends bien que la science avance de manière vertigineuse et qu'elle robotise à tout-va mais votre style d'écriture me rend hermétique à son intelligence. (15/10/2018) |
Bien |
Ombhre : Mafate |
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Bonjour, texte court et intense pour une île intense. Vous auriez pu y insérer les pas du facteur de Mafate dans le dédale des tamariniers.
Dans la strophe suivante : A marée montante, la brume efface les fusains flous des tamarins, n'avez vous pas confondu le fruit avec l'arbre ? (11/10/2018) |
Un peu |
solo974 : Le chat et le hérisson |
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Bonjour, je trouve dommage, voire superflue, la dernière strophe de votre poésie, politiquement tendancieuse et nature à polémique. Et c'est bien dommage, car tout ce qui précède est léger, certes, mais divertissant et traduit bien le sens recherché sans pointes de dénonciation ni d'agressivité. (11/10/2018) |
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