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Les évaluations de Lapsus

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Bien ↑ thaumaturge53 : Passeport pour l'enfer...
Cette association de la pipe et du chat comme les armes d'un même combat contre la mort qui vient est à la fois plaisante et bien menée. Des mots rares, inusités, viennent souligner le caractère intemporel de cette lutte. La référence à Baudelaire est également heureuse. Le chat a toujours eu un lien privilégié avec les représentations de l'E... (17/10/2009)
Bien LeopoldPartisan : Capharnaüm ou le mimétisme de la métamorphose
Voilà un texte monstrueusement absurde et abominablement décalé qui ne peut laisser indifférent. Ce Centaure du royaume des insectes - mi-homme, mi-bête - a, il est vrai, tout au fond des élytres une douleur kafkaïenne, mais il est fier néanmoins de son appartenance à sa communauté honnie, celle des rampants, ou des prophètes. Pensez à lui la ... (16/10/2009)
Bien ↑ Meleagre : Le Grand Bé
Ce sonnet irrégulier se lit très bien et ne manque pas de souffle romantique. Le rendu du paysage est soigné, animé et visuellement évocateur. (15/10/2009)
Un peu ↑ Chene : Les ci-devant
J'y vois une complainte désabusée sur une époque qui se cherche encore un idéal. Le style est relâché, les idées coulent d'elles-même sans recherche de rimes. C'est le genre de poème qui fait du bien à celui qui l'écrit, comme un coup de gueule qui attendait depuis longtemps. (15/10/2009)
Beaucoup Lhirondelle : Et fleur et toi...
Les fleurs comme enivrantes consolations, comme dérivatifs d'un amour qui se trouve éloigné de son objet, quoique le dernier vers, "effleurer toi", par-delà le jeu de mots poétique, semble traduire une proximité sensible qui perdure à travers les parfums des fleurs. A moins que ce ne soit qu'un souhait, expression de l'impatience qui ne fait pa... (15/10/2009)
Beaucoup Mr-Barnabooth : J'ai cru cicatriser
Une pincée d'herboriste aventureux, deux pincées de peintre tourmenté ne suffisent pas à faire se cicatriser les blessures (ta blessure, sa blessure ?). Mais comment cela se pourrait-il avec de tels yeux ? Il ne reste de place que pour le renoncement. Des associations sont pleines de charme et de mystère : le pommeau de ma fougue, les fala... (13/10/2009)
Bien Meaban : Destins
Ce sont des alexandrins ruraux ou champêtres qui par leur régularité suggèrent la langueur et le retour d'un cycle. C'est l'occasion de rappeler que le mot vers vient du latin versus qui signifie sillon, ligne ou rangée. Les trois tercets nous offrent une jolie moisson de gestes et de mots amples et séculaires. (10/10/2009)
Un peu thaumaturge53 : Brise océane
Ecrire sur la mer et sa beauté hypnotique est toujours difficile. Le premier vers est très réussi, poétique. Par contre, j'ai été arrêté dans ma lecture par certains autres vers : "Éclairant l’horizon, tel volcanique feu…" L'inversion apparaît artificielle, seulement justifiée par le retour de la rime. Quitte à mettre le feu, j'aurais écrit... (9/10/2009)
Bien pieralun : L'indifférence
La construction du poème ressemble fortement à celle d'un sonnet régulier dont, pour rappel, les quatrains du sonnet sont construits sur le modèle abba abba. Un rapide coup d'œil permet de constater que la forme choisie est irrégulière, ce qui a déterminé son classement en néo-classique. Cette remarque n'enlève bien évidemment rien à la ... (8/10/2009)
Bien Meleagre : La fissure
Commencer un conte par une citation détournée de Michel Audiard et le finir en la complétant, c'est beau. Les poètes ça osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (autre emprunt à l'excellent homme). C'est malicieux en diable et sans plus de prétention que de faire naître le sourire. Je n'envoie pas de photo, mais le but est atteint en ce... (8/10/2009)
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