Les Évaluations de Vincent

Les évaluations de Vincent

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Beaucoup ↑	Bleuterre : La saison des pluies
	Les mots de la ville la nuit, les mots robotisés, taylorisés, itérés, tortionnaires. Ils grouillent et vivent dans les catacombes du sommeil, me réveillent et violacent mes cernes. Terre inondée les mots s'écoulent cataracte du cortex ou bouillon d'âme c'est la saison des pluies. ce que j'aime beaucoup dans votre texte est que l'on e... (22/7/2015)
Bien	oblivion : Pour toi
	Comme la peur d’un grand vide Qui m’éloignerait de toi, J’ai des larmes dans mes rides Et des plaies dans ma voix Comme le poids d’une absence Satinée de regrets, Mon âme est en souffrance Et mon cœur est en apnée par exemple je ne sais comment prendre votre texte vous employez des images pour parler de cette séparation ... (21/7/2015)
Bien	clautard : Elle, trait pour trait
	Mine de rien, elle trace sur le papier, L'ébauche délicate d'un portrait. Au doux son ténu du crayon, Sa main soupir et tremble d'émotion. puis Cheveux roux, pris dans le vent du soir, Brasier de l'âme, prémices d'espoir. Le regard ardent attisé par l'esprit, Rayonnante, la flamme créatrice s'épanouie. c'est une approche de... (21/7/2015)
Passionnément ↑	Meaban : La soie des mobylettes [Sélection GL]
	Flagellés de soleil, tristes Sud parfois Murailles délitées et volets de guingois Épaves de camions, ferrailles inutiles ou Sur des surfaces grège, percent les écrouelles Comme ces bulles grasses sur de l’eau de vaisselle La soie des mobylettes s’égayant sur la rue Une journée d’usine S’occuper de survivre. j'ai déjà trava... (20/7/2015)
Beaucoup	RaniaBerrada : Demain est le même jour
	Je vogue sans but. Mon errance est fastidieuse. Aujourd’hui, je ne ressens rien mais j’éprouve tout. La grâce et la pureté, la nature et la beauté. L’océan est une quiétude constamment renouvelée. Je suis ivre. Je tangue, encore et encore. Chaque remous m’incline davantage. Équilibre fragile. Révérence forcée. Mes heures sont comptées. Mais qu’i... (20/7/2015)
Passionnément	Cyrill : Napalm adoré [Sélection GL]
	Tu crevais au corps du combat D’un abîme où foutre ton vit D’un habitacle de survie C’est alors qu’une te saisit Ôta sa robe sur ta lie Ton sang coulait le long des bas. je suis un peu dépassé par l'incompréhension du texte mais je ressens quelque chose de fort que j'ai déjà ressenti en temps de guerre cette abominable mo... (20/7/2015)
Beaucoup ↑	Arlet : L'apéro
	Je préfère avoir dix euros - Oui, Monsieur, je vous le dis Prendre un petit apéro Rigoler avec mes amis, Aller pêcher au bord de l’eau Cueillir les fraises des bois Mettre mon plus vieux polo Et être heureux comme un roi. je suis entièrement en accord avec le fond j'aime beaucoup la philosophie du texte car il se trouve que... (20/7/2015)
Beaucoup ↑	Digitalines : Les dix pas de l'autre
	Puis de rien vient cet autre là bas Remarquable, inconnu, à dix pas Anonyme mais déjà familier À neuf pas et cet autre relié et Il me cerne, que deux pas, il existe Il est là, plus un autre, mon artiste Plus qu'un pas et je sens son parfum, Côte à côte on se tient par la main. cet autre soi celui que l'on va chercher celui... (17/7/2015)
Beaucoup ↑	Lucas : L'éloge à une femme
	quoiqu'il en soit je serais très heureux d'avoir autant de succès il est vrai que vous devez avoir un public beaucoup plus jeune que nous et que l'appréciation d'Oniris ne changera pas votre carrière je salue votre fougue et votre jeunesse (16/7/2015)
Bien ↑	Miguel : Babyphobie [Sélection GL]
	De jour comme de nuit, au soleil comme à l’ombre, Je suis persécuté par ces braillards sans nombre : Où donc es-tu, savant, qui nous fabriqueras Des bébés OGM et qu’on n’entendra pas ? c'est un cri du cœur jubilatoire comme vous le dites mais à mon humble avis un peu trop direct c'est très bien écrit mais je ne décolle pa... (15/7/2015)

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