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Un peu |
David : Impair |
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Sous mon crâne il est plus soyeux qu’un édredon,
Dans ma vie il a pris parti sans que je douille,
Il ne craint ni le froid perçant, ni cette rouille,
Il attend, il oublie aussi mon abandon.
je ne comprends pas cette rouille
à part la rime avec douille
vos images viennent un peu comme cela
Vénérable et soutien scolaire où je m’emb... (12/6/2015) |
Beaucoup ↑ |
Trust : Cokelicot |
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Le bonheur par injection
La bonne heure pour l’ingestion
Palpite, palpite
Je tapisserai ton utérus de coquelicots
Afin de pouvoir m’y lover tel un angelot
Pépite, pépites
je ne sais pas si vous étiez
en pleine prise
d'ailleurs cela ne me regarde pas
mais l'effet est assez bien rendu
les images délirantes sont là
bien s... (12/6/2015) |
Beaucoup ↑ |
sqark : L'abject aux yeux du vide |
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J’avais une douleur trop vaste pour un livre,
Trop large pour un globe, étendue de partout
Vers le ciel sur la mer, la misère et la boue ;
— On n’a rien dans les yeux quand on manque de vivre !
l'expression de votre ressenti est claire
vous employez des images qui me parlent
par exemple
C’est porter un fœtus dans un bouquet d’é... (10/6/2015) |
Bien ↑ |
Bleuterre : Chambre noire |
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En flashes discontinus,
mes impressions explorent l'instant
d'une folie ancienne
comme un monument d'archéologie
au milieu d'une zone urbaine.
Le soleil éclaire ma chambre noire
où quelques photos sourient
aux miroirs brisés.
je suis très partagé
en lisant votre texte
il me semble qu'il pourrait être mieux écrit
et en même... (10/6/2015) |
Beaucoup |
Lyl_mystic : Musique |
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Jusqu'à n'être qu'un peu d'averse sur les murs gris et les objets...
C'est tout ce qui passe inaperçu à n'être pas visible.
C'est un hommage d'intensité à nos vies intérieures,
Au-delà des mots,
C'est tout ce que je n'ai pas écrit...
Ça ne s'écrit pas,
Jamais...
je n'ai pas aimé ce c'est ...
qui construit votre texte
il est l... (9/6/2015) |
Beaucoup ↑ |
Louis : L'heure méridienne |
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Il court, tu demeures à l'heure méridienne. Il court sur les plages immuables, et d'un bâton de bois, trace dans le sable, un long trait tortueux irrégulier, sans discontinuité, interminable. Toi, solitaire à l'heure méridienne, tu parlementes avec le substantif soleil quand il brûle, avec l'adjectif du jour quand il pleut, quand il vente, avec ... (9/6/2015) |
Beaucoup ↑ |
Melusine : Un été à pas comptés |
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Lorsque se déploie le crépuscule éventail
La plage et tout le ciel immense s’enversaillent
L’or des lueurs lèchent les bords alvéolés
D’un bouquet de pas aux pétales étalés
et puis
Lentement les rougeoyantes chairs du couchant
S’unissent à la nuit, aux langueurs de son chant
Pas à pas nos vies se mêlent à la mémoire
Du temps, son in... (7/6/2015) |
Beaucoup ↑ |
Eylia : Tu es né un matin |
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Tu as vécu. Vraiment. Tu étais vivant. Chaque jour, chaque minute, chaque seconde de ta vie t’apportait des trésors d’une valeur inestimable. Tu as su ce que tant d’autre n’ont pas su faire.
Tu as su vivre.
Tu es partit. Mais pas vraiment. Tu es là. Dans l’air, dans l’eau, dans le feu et la terre. Dans ces sentiments humains, dans ces corps.... (7/6/2015) |
Passionnément |
Francis : Au fil de l'aube |
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L’escute doucement fendait l’onde fripée,
Parmi les nénuphars, les roseaux indolents.
Sous un pont vermoulu, l’aube s’était noyée.
Sa houppe d’or coiffait les ilots, les étangs.
votre texte est inondé
d'images plus belles les unes que les autre
c'est un véritable
tableau vivant
cette aube est finement découpée
et nous lai... (6/6/2015) |
Beaucoup ↑ |
bonjour : La solitude |
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Allô ! Réponds-je et goguenard
Usant d'un don de ventriloque
Dans un duo je soliloque
Où je m'invite dans un bar
et puis
Emu tremblant j'ai murmuré
Chérie! Et quand les yeux humides
J'ai embrassé glacé le vide
Seul en silence j'ai pleuré.
votre texte est très attirant
une première partie
plaisante
qui prête à sourire ... (6/6/2015) |
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