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Beaucoup |
vag : Quitter l'enfer |
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Perdu dans ma solitude, je cherche à prendre de l’altitude
Mais mes pas n’étreignent, que le bitume, et dans mon cerveau règne, la dictature de la biture
Elle m’imprègne de sa brume, et dans cette nuit sans lune, d’un nouveau jour sans thune
Le rhum se remplace par un rhume, rythmé de manière lugubre.
je ne suis pas du tout spécialiste en... (21/4/2015) |
Vraiment pas |
mattirock : Animale |
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je n'ai rien aimé de votre texte
il m'inspire une lourde impression de dégoôt
je ne sais pas si vous connaissez un peut les prostituées
elle n'ont rien d'un animal que je trouve fabuleux
ces femmes sont souvent belles et respectables
les hommes se confient à elles
et ce sperme entre les dents...non !! (20/4/2015) |
Passionnément |
Marite : Me voici revenue... |
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La danse échevelée
Des mouettes des goélands
Le rougeoiement des ors
Au couchant du soleil
et puis
La course effrénée
Des nuages défilant
En camaïeu de gris
Dans un ciel si pesant
j'ai beaucoup aimé votre texte
le cadrage du tableau avec sa superbe description
la mise e scène du paysage
et puis le mouvement et le son
... (20/4/2015) |
Passionnément |
Damy : Reflets |
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En me penchant sur le visage
S’ombrent les contours flous et froids
D’un gros nuage
Qui de là-haut trouble les flots, et, par endroits,
Des gouttes d’eau du ciel tombées pleurent dans l’eau.
Une vive et soudaine ondée
Trempe bouleau, tremble et roseau.
Ma rêverie a débordé.
c'est avec un réel plaisir que j'ai lu votre texte
de dou... (20/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
Factum : Le chant du cygne |
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j'ai tout particulièrement admiré les images de la dernière strophe
Et les dieux en émoi, et la nature aimante
Contemplent l’animal qui sur l’onde écumante,
Disparaît comme un songe entre deux firmaments.
et l'écriture ciselées de votre texte
le mouvement et la sensation y sont particulièrement bien rendus
votre mise en scène du c... (20/4/2015) |
Passionnément |
pieralun : Mat |
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ce texte est d'une pièce : si j'ose dire
vraiment il est d'une écriture intemporelle ou presque
il est d'un classicisme ...
je n'y trouve rien à redire
la mise en scène est remarquable, et le scènario est troublant
je suis mat (19/4/2015) |
Passionnément |
Myndie : Crépuscule polychrome |
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la brune est aux aguets
le serpent ondulant dans la ville brûlée
a perdu ses reflets irisés
et ses flots affolés
sont des cieux tourmentés
fuligineux fantômes aux larmes de sueur
au souffle distordu aux plaintes égarées
aux souvenirs poudrés silice et suie mêlées
pareils aux noirs crachats des forçats d'autrefois
ombres de mon pays
... (19/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
margueritec : Rêvez les roses |
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es roses de feu
prisonnières d'un buisson
gelé
jaillissent
dans la nuit
et donnent aux souvenirs
le goût d'un avenir
particulièrement cette strophe
mais tout votre texte m'a emballé
le rythme d'abord
et les tonalités
et puis bien sûr les images qui décollent
merci à vous (18/4/2015) |
Un peu |
pepehache : Deux vies |
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malheureusement
je n'ai pas été charmé par votre texte
d'abord je ne le trouve pas régulier
vos vers n'ont pas le même nombre de syllabes
et puis votre poésie manque de puissance vous restez en dedans
vone nous emmenez pas dans des images qui feraient décoller votre texte
je salue quand même votre effort (17/4/2015) |
Un peu |
Lariviere : Nouvel ordre noir |
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Tu as choisis ton camp
Et au delà de l'horreur
Et des flaques
Tu te réchauffes
A la bougie des vils sentiments
Car, les flammes de l'enfer
C'est ta force !...
Une sorte de marque
Déposée
Comme une bombe à retardement
j'ai eu beaucoup de mal avec votre texte
je le trouve trop long par rapport à sa structure
... (17/4/2015) |
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