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Les évaluations de KIE

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Passionnément ↓ Francis : Le cœur à marée basse
Il faut admettre que l’alternance des rimes féminines-masculines a sa raison d’être, surtout dans un texte aussi musical que celui-ci (qu’il ne soit pas catalogué classique n’a rien à voir à l’affaire). Ceci pour le second quatrain. On se laisse bercer par le rythme et pof ! Réveil subtil sur cette anomalie. « Une pâle lueur éclaire le rivage... (16/6/2014)
Beaucoup Pimpette : Gardez ça pour vous…
Juste une petit peu pas plu le "Toujours pareil les autrement", même quand ça change ça ne change pas. Sinon, c'est extra un maudit blues comme le votre. La banalité, l’insignifiance, la fugacité, d’un instant de vie, fixées par l’image, photographique écriture qui dans la durée inscrit ce qui par nature est éphémère. La pensée poétique de cel... (16/6/2014)
Beaucoup Lotier : Chemin des Dames
Très intéressant et bien fait. Sans doute l'auteur aurait-il souhaité les mêmes rimes pour toutes les strophes. Les deux premiers vers auront résisté. Le sens se tient, ce qui n'est pas évident avec cette formule. En réalité, tout se tient, et même à l'écoute, c'est surprenant et point désagréable. Séduit par la performance. (14/6/2014)
Bien ↑ SaintEmoi : Le repas dans les champs
Comme le diraient les lecteurs de polars, on s'attendait un peu à la chute. Mais on n'est pas dans le polar. Vers 7 et 8 l'expression n'est pas très heureuse. L'ensemble est charmant, très agréable à lire. Mais trop facile. Une pluie printanière... l'herbe buissonnière (sado-maso ?)... grive bavarde... lumière blanche... soleil d'avril qui r... (13/6/2014)
Passionnément ↓ Mona79 : L’étrange mausolée
Quand un texte paraît sous la rubrique "classique", je me réjouis (malgré les réticences que vous me connaissez) d'y voir un "classique" pur jus. Ici, nous sommes en plein dedans. Il n'y a absolument rien dans ce sonnet qu'un esprit classique puisse dénoncer. Je dis bien : rien ! Je le répète : rien ! Car en réalité, tout y est justifié. ... (8/6/2014)
Beaucoup ↓ Ioledane : Ornières
Si c'est inventé : très fort ! Si c'est du vécu : très dur ! L'exercice de style doit être retenu en priorité car le libre permettrait de conférer encore plus d'intensité à l'expression de ce type de sentiments. "Encore" car ce texte n'en manque pas. Tout y est très bien conduit. Les vers deux et trois me bloquent un peu. Il fallait, me semb... (29/5/2014)
Beaucoup ↓ Miguel : Je l'eusse cru du roi
"Ce chêne auprès duquel..." Question. Est-ce une comparaison hyperbolique ou une contre-litote ? Va pour la rime poète / tête (une courte, une longue), mais la désinence "eur" en classique strict exige la consonne d'appui (censeur / rigueur ; auteur / moqueur). Pour le reste c'est d'une belle tenue. Une précision : Malherbe n'avait aucu... (29/5/2014)
Beaucoup ↓ Robot : Aux morts
Malheureuse est la formule "toutes cultures et croyances mêlées" à laquelle la pureté de l'intention n'enlève pas son côté convenu. Sinon, un économie de moyens d'une rare densité sémantique. Tout compris qu'il a cet auteur. "Ce n'est pas le mot qui fait la poésie mais la poésie qui illustre le mot" martelait (olé !) Léo. C'est exactement c... (27/5/2014)
Beaucoup papipoete : Au pays de Christkindl
Qu'il est laid, ce mot drapeau qui si bien rime avec "faire la peau" mais ici fort bien placé. Un bon texte, touchant dans sa simplicité et bien conclu par la brutalité finale, sans doute fut-il bien accueilli. Une petite préférence pour la deuxième strophe. Ce poème a su dérouler son petit film dans mon espace onirique ce pour quoi je le tien... (15/3/2014)
Un peu Fanch : Devenir…
Voilà ce qui limite ma notation: Vers 4 : douceur affrète a) pour la mauvaise sonorité qui n'est pas douce du tout, b) pour la connotation du mot "affrète". Vers 9-10 : Le sens s'y prête, mais je suis gêné par la rime du même au même : "roule" (à tort, sans doute, c'est un réflexe de vieux classicard borné). Vers 16 : 13 pieds, même en faisan... (31/1/2014)
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