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Les évaluations de rosebud

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Vraiment pas Lariviere : Ceci est un poème
on peut faire d'un urinoir une oeuvre d'art, mais on ne peut pas faire un poème simplement en assemblant de bric et de broc des mots et des sigles en espérant que cela produise un effet émouvant. Je ne trouve cela ni drôle, ni poétique, ni dada, ni rien. (11/12/2012)
Un peu ↓ Damy : La valse des vendus
Malheureusement, après la lecture et la relecture de cette ballade, ne me reste que la désagréable impression d'un étalage vain de mots recherchés et vieillis. Bien sûr, le jeu peut en valoir la chandelle, à condition que la ballade ait du corps et pas que de beaux habits. Il me semble que Villon, dans son François qui nous paraît tout étrange ... (3/12/2012)
Pas Pluriels1 : Verbe
Bref, n'y allons par quatre chemins, c'est encore un poème cochon! Mais vous décidez de brouiller les pistes justement, par amour d'un hermétisme affecté que je ne goûte pas. Tout de même, pour: "Buissons odorants des profonds jardins où se lisent les roses" et: "et la flamme des lèvres compose un grand éveil" la ficelle est un peu gros... (25/11/2012)
Un peu ↓ Franbri : Champagne et café
Eh bien non, ça ne prend pas! Obsédé par le parallèle champagne / café / ivresse / sexe, l'auteur se laisse aller à des images approximatives: "Lui, vivait sa vie, comme on prend un café" - c'est-à-dire? Debout devant le zinc? "descendre doucement en elle" - j'aurais préférer couler voire franchement laides: "comme on goûte un sexe ... (17/11/2012)
Un peu Titato : Ode à celle qui n'est pas née
je vais essayer de détacher le poème de la douleur profonde que je ne me permettrais pas de commenter. Malheureusement, beaucoup de mots ou d'expressions employés me semblent désaccordés avec une peine qui ne peut pas trouver ses mots pour s'exprimer. Et particulièrement : "le gecko badinant l’ipomée aux berges du Mahuri" Mais aussi: "cyclop... (12/11/2012)
Pas Lautre : Trois cent cinquante-cinq lettres
Et puis ? En 67 lettres, signes et chiffres je dis que je ne sais pas où ça nous mène. (9/11/2012)
Beaucoup Octave-Bleue : Le collier bleu
Je ne jugerai pas la prosodie: je suis incompétent et je m'en moque (je note quand même une diérèse manquée sur di-amant qui fait que le vers à 13 pieds - excusez-moi, on est en néo-classique et on peut rire un peu). J'aime beaucoup, beaucoup. J'aime le ton un peu désabusé, amer. J'aime l'idée acrobatique du joaillier-amant-meurtrier. J'aime su... (21/10/2012)
Un peu David : Cercles intrépides
Ҫa commence joliment avec la petite danseuse dans sa boîte à musique, et le premier vers est parfait (on entend presque la musiquette) et l’absence de verbe principal dans la phrase ne me manque pas du tout qui pourrait exprimer que la danse ne se termine que lorsque l’on doit remonter le mécanisme. Allons bon, voilà que le mécanisme se gr... (17/10/2012)
Pas stellamaris : Dieu des fous
Bon dieu, quel tapage autour du Dieu des fous! Je vais finalement ajouter ma touche de vinaigre pour compléter la sauce. Je n'aime pas la forme. Le fond je m'en tamponne. Je n'aime pas, parce qu'avec ses airs de ne pas y toucher, l'auteur force tant le trait que ce n'est plus une poésie: c'est de la propagande. Encore une fois, ce qu'il y a dan... (16/10/2012)
Bien ↑ Lili : Sans doute en rêve
Moi j’aime les poèmes qui en disent trop peu et qui nous laissent combler les manques avec ce que l’on veut. Particulièrement si les mots sont choisis et agencés pour nous attirer vers un je ne sais quoi de trouble (les escaliers frisés). Un peu de guingois (ses pieds sales d’apôtre vers le sable incliné – c’est l’apôtre qui s’incline ou le sabl... (13/10/2012)
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