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Beaucoup |
Luz : La télé noir et blanc |
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Un texte pétulant, plein de vivacité. Une lecture dont les noms propres sont à la base de la verve poétique et de la rythmique.
Il faut dans ce texte mesurer toute la qualité de l'agencement des références pour ne pas alourdir le récit. (10/6/2017) |
Beaucoup |
Silence_ecrit : Le cri |
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J'ai aussitôt pensé au célèbre tableau de Munch que ce texte pourrait aisément accompagner sur ce thème de la détresse. Mais ici, pousser ce cri semble faire du bien au narrateur. Un cri libérateur.
Le découpage donne un rythme qui semble fait pour une expression orale. (8/6/2017) |
Beaucoup |
Myndie : Les esprits aériens |
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Je ne me suis pas préoccupé du titre puisque "pourquoi pas". Mais je pense qu'il doit bien y avoir une conscience relative au titre même si elle n'est pas révélée.
Ceci dit, j'ai apprécié la poésie de ces nuances d'humeurs telles que "je m'éveille en exil mais... (ça n'empêche pas que) je déborde de rires"
Ou bien cet âme qui ne se tait pa... (8/6/2017) |
Beaucoup |
MissNeko : Terre aquatique |
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Ces strophes en forme de haïku, variations sur un même thème, sont assez plaisantes et s'apparentes à des diapositives fixant un instantané.
J'apprécie les suites de haïku lorsque comme ici l'ensemble à une cohérence. (8/6/2017) |
Beaucoup |
Vincendix : Le corbeau et la colombe |
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J'ai surtout apprécié le fond de cette fable. Elle vient nous rappeler à juste titre que l'habit ne fait pas le moine. Et puis, j'aime que ce soit le corbeau qui, loin des clichés bibliques, porte pour une fois dans son bec le rameau d'olivier.
L'écriture est dans la lignée de la pratique "fontainienne" de la fable morale. (5/6/2017) |
Beaucoup |
Meaban : Madame Gardan |
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J'apprécie l'originalité de l'écriture, les décalages sémantiques qui donnent un côté fantasque à cette scène estivale.
La conclusion subtile, triste et amère. En effet, étés inoubliables mais tristement refermés sur le fabricant de cercueils qui jouxte le refuge des indigents.
Beaucoup de finesse dans cette image finale. (4/6/2017) |
Beaucoup |
funambule : Toi & moi |
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Une partition saxo qui donne un rythme slamé à cette chanson dont les paroles sont bien soutenues par la musique.
J'imagine ce que ça pourrait donner de meilleur encore en version orchestrale...
Et puis, aspect non négligeable, un texte des couplets poétique, possédant une personnalité en propre, que l'on peut déclamer sans la musique. (3/6/2017) |
Passionnément |
LeopoldPartisan : Les enfants des rues |
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C'est dit avec tellement de simplicité que l'ensemble est émouvant. Un texte qui parle au cœur avec beaucoup de sentiment.
"Souvent les enfants des rues
Se transforment en oiseaux-mouches" Quelle belle image qui me fait penser à certains vers de Prévert.
Plus qu'une simple constatation, un poème empli d'humanité.
Je prends tout, sans rien ... (2/6/2017) |
Beaucoup ↑ |
SaintEmoi : Le mésespoir |
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Des mots forts, un texte sombre comme une dépression, mais il semble qu'au dernier quatrain le narrateur a trouvé son mantra et son aspirine pour exorciser ses démons intérieurs.
L'originalité du titre est une trouvaille. Entre désespoir et mes espoirs. (28/5/2017) |
Bien |
Queribus : Un cheval fou |
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L'idée est intéressante. Le temps de la jeunesse qui, si elle savait ... Je pense qu'une musique rythmée pourrait apporter à l'ensemble du récit la fougue qui manque un peu à la seule lecture. (28/5/2017) |
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