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Bien ↑ |
Arielle : Les montres molles |
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Un titre qui intrigue, une première strophe très réussie : on y est, on tourne en rond avec le temps qui s'ennuie... et qui rêve en nous entraînant avec lui : Sortir de la routine, "déboutonner le carcan de ses heures"ou même "sauter à l'élastique" !
Retrouver un temps libre de vivre dans la "joie" et la "souplesse"..
Joli rêve en effet et ... (8/12/2009) |
Bien |
thea : "Les amants de sable" |
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Je ne connais pas cet univers de sable et de silence mais ces mots m'y transportent grâce à leur musicalité, leur rythme (comme une mélopée déroulée au rythme des pas d'un chameau...) Une ambiance, donc, et un agréable dépaysement.
Merci pour le voyage ! (3/12/2009) |
Beaucoup |
irisdenuit : Lèvres à rompre |
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Profondément touchée par ce poème qui dit "l'innommable" avec pudeur sans sombrer dans le pathos.
Des images fortes :
"un père pousse la balançoire trop loin
dans le ciel qui cisèlent de couleurs inédites
le vitrail de l’enfance"
"insidieux sa langue de feu et ses doigts
aux abeilles aguerries"
"s’amoncellent fragments
de verre... (2/12/2009) |
Bien ↑ |
Arielle : Baiser du soir |
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La première strophe est de toute beauté :
"bois flotté au squelette de sel.", superbe !
La concision pour dire tant de choses, je ne peux qu'aimer :)
mais la dernière phrase aurait sans doute gagné en force sans ce mot "vieille", trop explicite, je crois.
Mais un poème qui mérite le détour. (23/11/2009) |
Bien |
irisdenuit : Comment retrouver le chemin des vacances ? |
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Deux univers dans un même décor, la jolie carte postale de vacances tourne perd ses couleurs et le touriste ravi a comme un goût de honte dans au fond du coeur.
C'est bien écrit, en peu de mots qui percutent juste là où il faut.
Le dernier vers est particulièrement réussi.
J'ai aimé cette lecture. (23/11/2009) |
Bien ↑ |
thea : Sous l'asphalte de la démesure |
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Une lente montée en puissance après une première strophe particulièrement réussie. J'aime la ferveur qui se dégagent de ces lignes :
Ne renonce pas
Elle t’apporte l’insouciance,
Les caresses sulfureuses et avides
Qui font déglutir le bonheur
Rôdeur assidu errant sans pudeur
Autour de l’indicible fortune.
Inonde la terre de ses déborde... (18/11/2009) |
Bien |
Arielle : En marge |
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Un joli poème tout simple sans mots inutiles et bien construit. La vie, l'amour, la mort... à boire jusqu'à la lie, mais sans amertume.
Un agréable moment de lecture. J'en reprendrais bien une coupe !
A la vôtre ! (14/11/2009) |
Bien |
thea : Mélancolie douce |
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Bonjour Théa,
J'ai beaucoup aimé la première strophe, fluide et musicale; et particulièrement : "L’automne s’installe en transparence
Monotonie des jours sur l’ombre de mes chagrins"
Dans la suite, j'ai moins aimé certains passages, un peu lourds à mon goût :
"Et j’entends se profiler malgré moi"
"Et je revois l’été rire sans écho"
... (6/11/2009) |
Beaucoup ↑ |
colibam : Dans la rue sombre du temps plié |
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J'ai lu, relu et plus je lis, plus j'aime le voyage de cet homme seul qui le mène au "bord du monde", puis "Vers des espaces purs/Où bivouaquent les rêves."
Une poésie originale, des images inédites, un pur bonheur de lecteur.
Déjà le titre, magnifique, que rien ne vient dénaturer ni affadir.
Je relève particulièrement ces passages... (31/10/2009) |
Bien |
Lhirondelle : Songe de hamac |
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Rarement séduite par la poésie classique, j'avoue avoir apprécié la douce langueur qui règne tout au long de cette apologie du farniente rêveur...
Sans envie d'analyser plus avant, je reste sur une impression de bien-être comme après un séjour au hammam.
Agréable ! (23/10/2009) |
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