La recette du RENOUVELLEMENT de genre n’est pas bien sorcière. On saisit par ruse un fragment de classique du XXe siècle. On le maltraite à l’envi en prenant soin qu’il reste reconnaissable. Dans un creuset de clichés et d’idées convenues, on ajoute un doigt de rosée et quelques filaments de contes de fées choisis au hasard la chance. Surtout, on se garde de prendre trop au sérieux ce philtre, qui se lit d’une traite en suspendant tout esprit critique.
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