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Un peu ↑ |
robindespapiers : Être poète [Sélection GL] |
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Je ne suis pas d'accord avec la métaphore qui structure votre texte et je ne peux donc pas l'apprécier. "La réalité est fatiguée de penser". Cette personnification me semble malencontreuse, du moins dans le développement que vous en faites ensuite, en effet, elle vient contredire à l'avance le "Je veux être poète", si rimbaldien au centre de vot... (5/9/2015) |
Beaucoup |
Lulu : Ta liberté je l'aime |
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Poème adressé à un vieil ami, certes, mais c'est celui qui parle qui semble sage, tellement il donne de conseils, de judicieuses raisons d'aimer ce monde du "désastre" dans ses aphorismes. Reste l'énigme. L'ensemble est serein. (3/9/2015) |
Bien ↑ |
chris : Le fermier [Sélection GL] |
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Texte paradoxal et très triste sur ce jour qui se lève sans lumière. Ce qui donne lumière, c'est le sens, or "les champs cultivés gravent l'absence." Terrible prise de conscience qu'il y a de la mort au cœur de ce qui aurait dû donner la vie. Le soleil s'efface dès le point du jour. J'ai connu une telle neurasthénie quand j'ai vécu en pays total... (2/9/2015) |
Un peu |
wancyrs : L'arrière-scène |
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C'est cru, c'est dur comme la guerre, sec comme un coup de feu, ça hache comme la mitraille. Du Giono, du Céline. Mais pourquoi parler de ça maintenant, aujourd'hui? C'est vrai, nous sommes en guerre, mais ce "théâtre de la guerre" pour parler comme Voltaire dans Candide est toujours, on le sait, sordide. Je dirais donc: "Pourquoi"? Ce poème n'e... (31/8/2015) |
Beaucoup |
Meaban : La soie des mobylettes [Sélection GL] |
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Mais où sont les usines d'antan! Merci pour ce voyage dans le temps. J'ai connu (j'étais petit à l'époque) ces wagons trémie, ces bruits et ces fureurs de machines outils dans des pays silencieux et vides à jamais aujourd'hui, comme Laval-Pradel, La Grand-Combe, voire Alès... Merci pour la soie des mobylettes, cette soie qu'on n'entend plus aujo... (28/8/2015) |
Bien ↑ |
David : Mot compte triple |
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"Il s'endort"??? AH!!! La chute me semble faible! "Il est mort" me semblait s'imposer. Ah la la, le "meurtre du père" où ne va-t-il pas se nicher!... Surtout avec cet alcool de gland qui évoque la vie, la mort, tout ça de façon très charnelle et charnue et qui sèche fissa la "jonquille" du Papy. Merci pour ce texte spirituel et spiritueux. Je l'... (29/7/2015) |
Bien |
Ioledane : Le grand lustre |
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Curieusement, ce poème m'évoque plutôt Albert Samain et le Symbolisme que le Grand Siècle! J'entends des accents assez similaires à ce beau texte assez connu du dit Samain: "Mon âme est une infante en robe de parade", qui parle aussi du Grand Siècle espagnol, celui de Philippe II et Charles Quint. Charmant et bien tourné. Mais à quoi bon, au fon... (22/7/2015) |
Un peu |
CalamusInscius : Maison close |
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Il me semble qu'il faudrait poursuivre. J'aime l'écriture, j'aime la rue lente, j'aime les négations, j'aime l'insolence mais je ne vois pas vraiment ni la maison close ni la maison de retraite. Je ne sais pas ce que veut dire qu'elle "enterre son captif"... Une suite de sonnets, peut-être, afin d'élucider ce qui resterait obscur? Le premier ter... (8/6/2015) |
Bien |
Francis : L'estaminet d'Alice |
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Bien sûr, l'estaminet fait de ce texte une composition littéraire, qui fait écho aux sonnets de Rimbaud sur le sujet. J'ai pensé au "Cabaret vert" que voici:
Au Cabaret-Vert
cinq heures du soir
Depuis huit jours, j'avais déchiré mes bottines
Aux cailloux des chemins. J'entrais à Charleroi.
− Au Cabaret-Vert : je demandai des tarti... (1/6/2015) |
Bien |
dom1 : Le volet fermé... |
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Tous les chemins mènent à Rome, mais... Ce n'est qu'un décor pour une séparation peut-être. L'essentiel est invisible aux yeux, et semble indicible. Rome... Lieu magique, mystique, mythologique, au confluent de routes et de chemins. Mais c'est là que des mains se séparent. J'ai pensé à la Modification de Butor, ce voyage entre Paris et Rome... O... (1/6/2015) |
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