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Pas |
Robot : Comme un galet sur la plage |
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Dès la première strophe, on s'égare un peu dans le non sens :
un galet est le plus souvent un morceau de rocher très érodé, aux formes arrondies, alors qu'un silex est une roche sédimentaire aux aspérités coupantes.
Nous avons donc un galet (silex) échoué dans le sable marin et qui aimerait bien, à la faveur d'une marée (d'un courant plus fort... (1/3/2017) |
Pas |
Curwwod : Whitechapel, une nuit... |
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Mon dieu ! Epouser le personnage de Jack l'éventreur n'est pas une mince gageure. Mais dans ce texte, le suspense et l'horreur sont masqués par des mots trop convenus et des expressions "boiteuses" :"Et sur son masque peint met en se déhanchant un sourire perdu, dont elle n'est pas dupe" - "Peut-elle imaginer que cette nuit s'achève le destin d... (27/2/2017) |
Un peu |
Lain : Et brisé, le sillage ! |
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Ce que je comprends :
"les voiles se lissent" elles s'aplanissent, donc le vent est tombé !
"les coquillages se nacrent d'une lente rougeur" : nacrer, c'est donner l'apparence de la nacre, iriser ; on ne peut donc pas nacrer de rouge.
"les relents fleurissent" : les relents étant de mauvaises odeurs persistantes ne peuvent, à mon sens, embell... (25/2/2017) |
Vraiment pas |
rosebud : Je me quitte |
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Certains non sens et erreurs grammaticales nuisent à l'ensemble de ce texte au sujet original mais dont la concision impose l'exactitude.
"Je vais revoir les avions plats et les cargos en carène..." Les cargos en carène ne veut rien dire. Je suppose que l'auteur confond "carène" avec "carénage".
"J'ai fait trois pas AU parc de mon château..."... (14/2/2017) |
Beaucoup |
papipoete : Un été de 1957 |
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Bonjour Papipoète,
Il y a du Pagnol en vous (le château de ma mère - la gloire de mon père) qui fleure bon les souvenirs d'enfance, avec leurs lots de naïveté et d'insouciance, sauf que vous y ajoutez une pincée poétique de bon aloi.
Cela me rappelle mes 10 ans dans une colonie de vacances à Saint-Julien Molhesabate et un itinéraire particuliè... (14/2/2017) |
Un peu |
Marineblqt : Dégâts de guerre |
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1) le classement en poésie classique m'interpelle ou alors je ne connais rien des règles de la prosodie classique.
2) malheureusement, ce sujet maintes et maintes fois évoqué ne se démarque pas, peut-être par la "fadeur" générale des mots utilisés, peut-être aussi par manque d'audace de l'auteur qui privilégie les tournures emphatiques à l'esci... (13/2/2017) |
Bien |
Cristale : Hors piste |
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Qu'ils soient thymiques, addictifs ou de la personnalité, les troubles psychiques décrits avec un certain recul (et/ou flou artistique), ne déséquilibrent pas la métrique de ce texte et le rendent crédible.
Mais d'où vient le regard ? Et une muse "endormie", donc mourante comme lui, est-elle vraiment ce qu'il a de plus beau à offrir contre le ... (12/2/2017) |
Bien |
Miguel : La dernière leçon, et la plus opportune |
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Humour et autodérision sont au rendez-vous de ce joyeux galimatias (au sens noble et non confus) vaudevillesque.
La variante poétique de "encore", utilisée trois fois en quelques vers, est excessive et rend l'écriture un peu paresseuse (on privilégie la facilité à la difficulté). Je la sanctionne donc un peu. (12/2/2017) |
Pas |
Ascar : Reviendras-tu ? |
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En comparaison aux magnifiques paroles des chansons "Non, je n'ai rien oublié" de Charles Aznavour et "Dis, quand reviendras-tu ?" de Barbara, dont ce texte semble s'inspirer tour à tour, je trouve l'ensemble bien mièvre, avec une impression de déjà 100 fois lu et écouté, mais en 100 fois moins bien.
Il aurait fallu davantage personnaliser ce ... (8/2/2017) |
Bien |
Evarista : Poème de Tom Vert |
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Tout cela sent la déprime et le repli sur soi-même ! Heureusement l'ami ordinateur est omniprésent et, peut-être, le seul lien social, aussi ténu soit-il, qui "humanise".
Certaines absences ou fautes de ponctuation qui relèvent du CL et une tournure boiteuse : "j'ignore si j'en ai jamais écoutée" inélégante en rythme et en son. (4/2/2017) |
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