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Un peu |
gilles50 : Pour toi |
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On dirait la déclaration d'un élégant damoiseau comptant fleurette à sa belle ? Les termes sont simples, avec beaucoup de reprises (j'inventerai des mots, je sécherai tes larmes, je serai ton esclave, je te couvrirai d'or etc...), mais ils sortent d'une autre époque ou d'un autre âge et ne me semblent pas coller avec un hymne d'amour dédié à cel... (13/4/2019) |
Pas |
Provencao : Les vitraux |
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Ce n'est pas à la lecture de ce texte que je vais me familiariser avec l'entendement humain. D'autres percevront dans ces vitraux ce que je suis incapable de déchiffrer. L'hermétisme devrait être banni de la littérature. Et i y a cette ponctuation qui en rajoute. Je capitule. (12/4/2019) |
Un peu |
Cristale : Les pétales froissés |
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Certes, le titre accrocheur est en adéquation avec le texte, mais l'érotisme dévoilé utilise des termes passéistes et ressassés. L'ensemble aurait mérité un peu d'innovation, de surprise ; il reste néanmoins plaisant si l'on se contente des intentions littéraires de contemplation. (10/4/2019) |
Beaucoup |
Vincendix : Le bois de ma jeunesse |
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Cette très jolie balade décrite avec simplicité et authenticité, rend le partage aisé. Les souvenirs apaisants font du bien, surtout quand le temps ne les déforme pas. (2/4/2019) |
Un peu |
suzan : J'aime |
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Juste un bémol : le froufrou d'ailes de pigeons associé aux cris des mouettes qui s'enfuient, près des vagues écumantes. Quelle est donc cette race de pigeon des mers froufroutant au-dessus des vagues ?
Sans cette incohérence, le texte me plaisait plutôt bien. (16/3/2019) |
Un peu |
MissNode : Deuil |
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Un sujet tellement dépeint depuis Verlaine (le deuil au sens propre comme au figuré) qu'on finit par le banaliser. Pour être démarqué de cette banalisation, il faut trouver les mots, le rythme, capables d'arracher les tripes.
Pour moi, ce ne sera pas cette fois ci ; comme écrit dans l'incipit : trop de rimes empruntées. (15/3/2019) |
Pas |
melaine : Oserai-je, Madame |
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Les poésies érotiques, à la musicalité sensuelle, aux images polissonnes, sont loin de me déplaire. Celle-ci, à la rythmique aléatoire, est pour moi beaucoup trop convenue et sans originalité.
Certains vers sont falots : Je vous sentis frémir quand comme une caresse, l'une de mes deux mains vint effleurer vos fesses. ou encore : Vous étiez enfi... (10/3/2019) |
Pas |
LuluDwild : Valse d'incohérence |
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Je ne suis ni professionnelle, ni passionnée de la littérature, pour clarifier ma position par rapport aux formulations de l'incipit.
Par contre, je sais très bien déceler les formes d'intérêt et la différence entre ce qui est brut (à l'état pur) et ce qui est factice (cherchant à briller, un peu comme du strass !).
En cherchant l'épate plus... (10/3/2019) |
Pas |
apierre : Retour à la villa |
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S'agit-il d'une villa provençale, les assiettes étant en faïence provençale ? Louée ou occupée chaque année au mois de juillet seulement ?
L'incipit nous décrit des mots simples pour une villa ! En fait il n'y a aucun mot pour cette villa et très peu pour nous décrire ce qui gravite autour.
Voilà le style de texte qui me fait très vite retir... (26/2/2019) |
Pas |
patounette : Le chemin continue |
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Le chemin continue ou la vie malgré tout ! Je trébuche, hélas, trop souvent sur des formules et expressions apprêtées :
- la première strophe en est une première illustration ;
- la 3ème strophe se pare de transitions à la va-vite : oripeaux transformés en habits de lumière et d'argent ;
- succèdent pêle-mêle une troupe de girafes et d'élépha... (24/2/2019) |
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