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Beaucoup |
Garance : Gelée royale et autres abeilleries |
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Étonnant parcours olfactif et sucré auquel nous convie Garance par ce texte.
Les strophes sont posées et dispersées comme les fleurs d'un champ, vais-je butiner à celle d'à côté ou à celle de dessous ?
L'abeille est insecte social par essence ou par excellence, "fille de cette force née de l'essaim qui me porte", communauté si vivante, ind... (28/10/2009) |
Un peu |
Fanch : Passion... |
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Des variations sur la passion qui, par moments, ne manquent pas de lyrisme, par exemple
"[la passion] de Chimène en son dilemme,
Quand l'honneur est raison du glaive" est bien placé.
Quand je lis des vers rimés, je m'attends à trouver en tout temps le minimum syndical.
Faire rimer harmonie et ennui n'est, outre leur nature féminine/mascul... (26/10/2009) |
Beaucoup |
Chene : Tu viens à mon visage |
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Des vagues de douce sensualité dans ce poème, où tout se joue rapprochement.
J'aime la symétrie du texte apportée par les expressions en amorce des sizains : Tu viens à mon visage / Je viens (je souffle) à à ton rivage, contribuant encore à renforcer le caractère consensuel et réciproque du mouvement.
Les mots sont beaux de leur e muet qui s... (25/10/2009) |
Beaucoup |
pieralun : Pluie d'été |
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C'est la peinture d'une scène qui laisse volontairement des questions sans réponses sur l'identité du visage aperçu ou sur les relations antérieures ou futures avec celui (ou celle) qui s'abrite sous l'arbre.
L'eau est incontestablement l'élément premier et transversal du poème, par la pluie ou les larmes.
L'expression est caressante.
Ce sonn... (24/10/2009) |
Bien ↑ |
Lhirondelle : Songe de hamac |
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Un hamac.
Mon rêve secret pour y nicher moi aussi quelques songes aventureux.
Voilà un voluptueux instant comme je les aime, l'instant est bien brossé et le plaisir de vivre se fait agréablement sentir.
"Corps et âme jetés au brasier des envies,
Sais-tu ce feu si vif qui pourlèche ma peau ?"
Pourlécher, le verbe est du registre gastronom... (22/10/2009) |
Bien ↑ |
irisdenuit : Le bonheur défait |
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Le bonheur défait comme un lit sans sommeil.
Le décor, le parfum, le souvenir tout est là, il manque pourtant l'essentiel pour redonner la vie ou le gout de vivre.
Cette présence perdue, sensible au long du poème, fait sonner faux le dernier vers : "tout est là sans y être"
L'esprit réussirait-il à gommer cet essentiel ? (22/10/2009) |
Beaucoup |
David : Sous-munition |
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J'ai cherché à cerner quel haut fait d'armes inconnu avait pu se dérouler au Nouveau Mexique.
Et puis j'ai fini par comprendre que la scène était une transplantation de toutes les guerres de rue modernes où la technologie militaire se déploie sans pour autant que la peur lui cède.
Le dernier quatrain est une réussite, avec ce sourire au bét... (21/10/2009) |
Bien ↑ |
Mr-Barnabooth : Le chantier du nouveau pont |
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C'est une déclaration d'amour.
C'est l'expression de rapports symbiotiques se conjuguant au rythme fracassant du modernisme et à la douceur intemporelle de la vieille ville.
C'est fort bien traduit, jouant sur les cinq sens. (20/10/2009) |
Bien |
TITEFEE : Le village abandonné |
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Je salue à mon tour l'hommage aux vieilles pierres qui gardent encore en elles la mémoire d'un monde disparu.
Il n'en restera bientôt plus trace que dans les musées provinciaux, les iconographies paysannes ou dans les textes qui en auront fixé le souvenir.
De jolis vers :
"Il y règne un silence qui n’a pas d’horizons
Sur l’huis ouvert en gr... (20/10/2009) |
Bien |
Fanch : Je n'aime pas les vieux... |
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Avec un titre comme celui-là, avec un thème aussi universel et controversé, difficile de faire l'unanimité.
Ce poème a ramené à ma mémoire la nouvelle "Chasseurs de vieux" de Dino Buzzati dont la morale peut se résumer par : chacun son tour.
C'est le sens de l'avant dernier vers : "Jusqu’à cet enfant sage… qui me fuit apeuré…", pendant logique... (20/10/2009) |
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