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Bien ↓ |
marogne : Les neuf chevaux de la rivière Li |
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J’aime l’idée de lire Marogne. Parce que je vais voyager, me laisser tenter par son rythme lent, qui m’oblige à me poser et à m’extraire de la précipitation quotidienne. Cette fois-ci, je suis cependant –un petit peu- déçue. Les deux premiers paragraphes m’ont paru artificiels, inutiles(au passage, n’est-ce-pas « ô lecteurs patients » plutôt que... (22/1/2010) |
Bien ↑ |
Filipo : L'abri - Partie 3 sur 4 |
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Cet épisode est trés accrocheur, avec l'opposition entre la vie "sereine" du héros et le sort dramatique de la jeune femme. J'aime beaucoup le style, efficace, sans temps mort, fluide. Une description un peu gore de la douce et belle Eva, mais, que diantre, il faut bien que le héros ait quelqu'un à sauver... Ce texte est trés vivant, travaillé, ... (15/1/2010) |
Bien |
pounon : L'ombre d'un doute... |
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Bonjour,
J'ai eu envie de laisser un commentaire sur ce texte attendrissant. Oui, je trouve qu'il y a une grande tendresse envers ce personnage marginal au pays des ombres. Une imagination fertile, pointilleuse, poétique. Je suis particulièrement séduite par les confettis d'ombres. J'ai moins aimé le ministère des ombres, j'ai pensé à Harry Pot... (12/1/2010) |
Beaucoup |
marogne : 12 mai 2008 |
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C'est une vraie nouvelle, un tout, un monde, et j'ai aimé y pénétrer. L'abord n'est pas simple. Il faut s'imprégner de cette écriture lente, apaisante, qui épouse parfaitement la mentalité chinoise: soyons précis, n'ayons pas peur de développer, de planter le cadre, de définir les sensations, de citer les sages et les poètes, de prier les Dieux.... (4/1/2010) |
Un peu |
FilledeJoie : De la magie sur ta peau |
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Bonjour,
Un sentiment mitigé à la deuxième lecture.
Sur la forme: je trouve de belles envolées, séduisantes, mais aussi de nombreuses petites maladresses, ou choses qui m'arrêtent dans ma lecture: par exemple: l'étreinte étourdie (?), dans l'expectative (qui casse la poésie), l'orgasme (semble déplacé dans le langage utilisé par ailleurs), tou... (4/1/2010) |
Bien |
LEVENARD : La mémoire d'Orgepluis |
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Une lecture agréable. J'aime le style travaillé, savoureux, parfois un peu trop lent, cependant. On avance avec assurance dans cette nouvelle confortable. Moins caustique que Jeux de plage, mais l'ironie reste présente, à la grande joie du lecteur.
Merci,
Perle (31/12/2009) |
Un peu ↓ |
Napthaline : Les Yeux des vaches |
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L'écriture est travaillée. L'auteur prend plaisir à détailler les sentiments, à peaufiner les dialogues. De la belle ouvrage. Ceci dit, j'ai été étonnée par plusieurs éléments: tout d'abord, donner le prénom de sa femme et de sa fille mortes à deux vaches... heu, cela suppose une dose d'ironie ou de recul que le personnage ne montre pas par aill... (28/12/2009) |
Passionnément |
lailasambu : Une minute de ma vie |
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On ne peut rester insensible en lisant ce texte. On ne sait plus, ensuite, comment était l'écriture. Et lorsque l'écriture sert à ce point le témoignage, s'efface, s'oublie dans ce qu'elle exprime, c'est que nous sommes en présence d'un texte exceptionnel. (28/12/2009) |
Beaucoup |
solidane : Euthanasie Legourmandais |
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Mon Dieu, c'était donc pour ça que Mémée fermait ses volets ? (elle m'a toujours dit que sa cataracte...).
Hilarant.
Pour essayer d'écrire constructif, je préciserai que le rythme est à la hauteur du vocabulaire: trépidant, enjoué, léger.
Merci pour ce trés bon moment. (27/12/2009) |
Beaucoup ↑ |
jaimme : J'habite une maison enchantée. Et je pleure tous les jours |
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Bonjour…
Commentaires au fil de la seconde lecture :
« Chaque réveil, je pars vérifier. » Bonne accroche. Partons donc… « des enjambées de plus de 4 mètres » : diantre !
L’intérêt est là, en trois phrases : on ne sait ni qui, ni quoi, ni où, mais c’est clair, il va se passer quelque chose d’inhabituel.
La première force de cette nouvelle e... (23/12/2009) |
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