 |
|
 |
|
Connexion
Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche
|
|
|
| Beaucoup |
Cyberalx : Un palmier en ville |
|
A part la déconfiture de l'attribut du banquier dont je ne vois pas l'absolue nécessité, les images de ce texte me parlent et une grande sympathie m'est venue pour ce pauvre palmier. (24/4/2008) |
| Beaucoup ↓ |
Acacia : Irène |
|
Pour moi, c'est un fort beau cri vers une femme très jeune et partie trop tôt. (19/4/2008) |
| Bien ↑ |
David : D'hiver en été |
|
Pourquoi aurait-il de la rancune, le cerisier en fleurs ? Et pourquoi des mensonges et pourquoi racoleur ? Pour moi, deux ou trois absurdités dans ce poème d'autre part plein de fraîcheur et de jolies images. (5/4/2008) |
| Bien ↓ |
farfadet : Un ver luisant ! |
|
Mais oui, Farfadet nous donne souvent de jolies choses. Mais, à mon avis, pas très travaillées... Rimes faciles, répétitions, c'est dommage. (23/3/2008) |
| Bien |
nico84 : Du sang sur mes mains |
|
Dans la deuxième strophe, "par principe" et "courage" me semblent mis pour la rime et c'est dommage. Plus loin, les "souvenirs roses", à mon avis, font un peu guimauve dans un texte poignant...
Nico 84 a un grand talent et de bonnes inspirations. Mais, je crois que, comme nous tous et moi la première, il devrait écouter Boileau : « Vingt fois... (4/3/2008) |
| Beaucoup ↓ |
jensairien : Réminiscence |
|
Triste, émouvant, simple et un peu culpabilisant... (3/3/2008) |
| Beaucoup ↓ |
nico84 : Existence |
|
Comme Argos, je trouve de très belles choses dans ce poème. Et j'ai l'impression de plus de recherche, de plus de travail alors que, malgré tout, l'intuition continue à guider le poète. (29/2/2008) |
| Beaucoup ↓ |
lencrier : Comme Magellan [concours] |
|
Très beau, simple, profond mais trop court quand même, à mon sens. (16/2/2008) |
| Beaucoup ↓ |
Maëlle : Partage d'éternité [concours] |
|
Ah ! C'est drôle ! Bravo pour l'humour ! (16/2/2008) |
| Beaucoup ↓ |
daphlanote : Temps de toi [concours] |
|
La première strophe ne m'a pas trop accrochée. J'ai adoré les deuxième et troisième strophes, sans savoir bien pourquoi. Cela chante, c'est prenant, une dimension est atteinte qui m'étonne. Le dernier couplet me replace dans ma première indifférence... Les phrases en italique m'ont semblée très bienvenues. (16/2/2008) |
|
|
 |
|
 |
|
