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Beaucoup |
Miguel : Ta voix claire et tendre |
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Pour un petit retour au pas de charge sur Oniris, je suis heureux de tomber sur un poème de l'élégant Michel Martinez. Ce poème, délicat et fin, soutient la réputation de son auteur.
Il est évident d'abord qu'il faut lire ce texte en connaissant les codes du madrigal et de la poésie classique. Pour désuet que le nom de Philomèle puisse para... (2/9/2011) |
Un peu |
nicotine : J'entrerai dans ton cœur... |
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Il me semble, au risque de me tromper, que le Baudelaire de certains poèmes des "Fleurs du mal" n'est pas inconnu de l'auteur. Cela pour dire que cette "haine" de pose et de convention me paraît bien un peu ressassée.
Pour ce qui est de l'écriture, rien à dire, si ce n'est l'adjectif substantivé "l'intime" sur lequel je trébuche. L'intime de q... (23/4/2011) |
Bien |
LEVENARD : Fontevraud (Prison d’État / Maison centrale de 1804 à 1963) |
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Un texte surprenant, avec le ton volontairement relâché et familier, et cela en utilisant le genre noble et classique du sonnet !
Certains vers sont assez âpres, comme un vin encore jeune et vert.
Je trouve dommage que les rimes des deux quatrains soient toutes féminines. Quelques rimes masculines, voire tranchantes, eussent convenues à la q... (20/4/2011) |
Beaucoup |
Miguel : Redonne à tes enfants |
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Hélas ! MichelMartinez, vous avez écrit, bien mieux que je ne l'eusses fait, le poème que je rêvais de composer depuis quelques temps.
Lamartine, Hugo ? Qu'importe ? MichelMartinez, tout simplement. Son style, le délié musical de ses vers, dominés par une haute raison.
Ce poème illustre parfaitement tout ce que j'attends de la poésie : la r... (9/4/2011) |
Un peu |
Meaban : C'est un matin d'eaux claires |
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Ma première impression est la monotonie : le rythme des vers de six syllabes finit par être lassant. Voyez plutôt :
"C’est un matin d’eaux claires
Et les virgas de l’ombre
mangées par les ruisseaux
s’étirent sous les monts
Un orangé de laudes
caresse les essarts,
que des hommes hirsutes
jardinent en maugréant.
Une cloche au ma... (21/2/2011) |
Bien ↑ |
ristretto : La cinquième saison |
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Difficile de voir dans ce texte le simple compte rendu de la dernière ballade de l'Association des Promeneurs du Dimanche... Je suis davantage séduit par l'idée du parcours d'une vie, suggéré de façon métaphorique.
La métaphore est dite dans une prose simple, aérée, poétique. Une petite réussite, à mon goût. (21/2/2011) |
Beaucoup |
kamel : Inspiration |
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Mais... c'est bien ! C'est même pas mal du tout ! J'avoue que je suis très agréablement surpris. Le genre du poème en prose est difficile, sans doute plus difficile encore que la poésie libre. Et l'auteur de ce texte relève le défi avec un étonnant panache.
Autre difficulté, le sujet abordé qui frise la philosophie. L'ennui, dans ce genre de t... (19/2/2011) |
Un peu |
costic : Egoème |
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Ce poème pourrait se rattacher à la longue tradition du genre du blason.
Il est assez plaisant à lire. Cependant, j'en dirai ce que disait à peu près Lamartine du sonnet pétrarquiste : l'esprit dépare la poésie. Trop de jeux de mots tuent le naturel et la poésie.
Anecdotique, mais non sans intérêt, à mon sens. (18/2/2011) |
Bien ↓ |
celisam : Plaisir |
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Ouf ! L'auteur a du s'amuser à écrire ce poème qui flirte (c'est le cas de le dire) avec la provocation obscène... Le dernier quatrain enlève toutes les appréhensions que l'on pouvait avoir.
Il faut lire ce poème deux fois : la première lecture est surprenante, la deuxième est amusante, car l'on s'amuse à relever toutes les allusions à double ... (17/2/2011) |
Bien ↓ |
itans : Je chercherai la veine... |
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Du bon et du moins bon, mais un texte a forte valeur poétique ajoutée, c'est une certitude.
Les deux premiers vers sont magnifiques et le jeu des sonorités à la rime envoûtant ("diamant" : son fermé ; "ordinaires" : son très ouvert).
Mais les deux vers suivants ne tiennent pas les promesses des deux premiers. Ils sont moins bons, plus diffic... (25/1/2011) |
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