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Bien ↓ |
Meaban : Un vent qui vient de Flandres |
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Une belle liste d'images, toutes bien éclairant "les Flandres" que je perçoit ici de France...
L'univers des mines et des gens qui y vivent se sent fort bien, mais j'ai été gêné dans ma lecture par une impression de liste... Quitte à faire un découpage, j'ai eu l'impression que le pousser au plus près de l'aspect liste aurait renforcé l'effet... (30/7/2010) |
Bien |
masdau : L'ivrogne |
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Entre deux rires ça tangue et ça tourne vers quelques petites demi-vérités plus graves... C'est suffisamment caustique pour faire sourire et réfléchir un peu. Sympa.
J'aime bien cette chanson, ça serait bien de l'entendre aussi. (25/7/2010) |
Bien ↑ |
leon : Le milieu d'ici |
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Je pense, donc j'existe.
Je trouve ce poème particulièrement prenant, un cri, un aveu d'existence malgré les barrières que l'on peut trouver devant soi.
Les exemple d'enfermement me semblent malheureusement un peu trop survolés.
D'une manière générale, je trouve la ponctuation trop présente, alors que le découpage en strophe donne suffisa... (24/7/2010) |
Un peu |
brabant : Trépas de Rooniaus |
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Pour la forme, rien à dire, si ce n'est l'abstruse aux sonorités difficiles, mais c'est un choix d'auteur.
Le second quatrain m'apparaît un peu comme une liste, il souffre de l'absence de verbe.
Le dernier vers, construit en 3/3/6 est bien joli, mais je ne comprend que mal l'intrusion du bétel (la plante médicinale ?)
Globalement, le sens éch... (23/7/2010) |
Un peu |
fleurdevie : Moi qui ai tant rêvé de vous |
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Métriques en 8 dans les strophes 1 et 3, puis en alternance 10/12 pour la strophe centrale, le tout en rimes, pauvres parfois, mais sonores au minimum.
De fortes contraintes pour une poésie en vers libre, que j'aurais vue plus assumée en néoclassique (au vu des libertés prises avec la prosodie).
Une superbe idée aussi que de bâtir sur une ... (22/7/2010) |
Un peu |
irisdenuit : Trop peu, trop tard |
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Selon moi, c'est un texte qui s'apparente plus à la prose qu'au vers libre, dans le sens où le découpage en vers est artificiel et n'ajoute pas grand chose au final. Le découpage n'impose pas sa respiration, il n'est donc pas porteur de sens. Le texte est composé de phrases entières, bien construites, régulières, c'est pour moi (mais ça n'engage... (22/7/2010) |
Un peu |
Jules : L'amour à la tronçonneuse |
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Bien aimé le thème, mais je pense qu'il y a de sacrés troubles rythmiques. Lecture manquant de fluidité, de petits trucs qui écorchent... tant au niveau de la césure parfois mal équilibrée que du nombre de syllabes qui varie entre 12 et parfois 10...
"Quand tâtonne l’envie de mes insomnies."
"Tes fesses au frigidaire furent la défaite"
"D’... (22/7/2010) |
Beaucoup |
LeopoldPartisan : Nathan dans le clair-obscur |
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Un très beau rythme pour une bien belle chanson, avec un refrain, des rimes internes, des assonances, une vraie musique, servie par un découpage précis qui renforce le tout...
J'aime imaginer Nathan, à l'abri de la lumière, se souvenir du premier feu... mais rester fort...
Un beau passage rue des Carmes... initiatique ? (22/7/2010) |
Bien |
Mrtoutlemonde : L'échanson |
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Tout est dans le titre et dans la brièveté.
L'échanson, la chanson... J'aurais aimé une mise en page qui puisse imposer une plus longue pause avant la chute "en chanson"... et qui montre mieux que c'est ainsi que se meurt la nuit... Il y a quelque chose qui ne va pas entre le rythme graphique et le rythme lecture...
Mais vraiment j'ai app... (22/7/2010) |
Un peu ↑ |
carpediem : Délicieuses Myrtes |
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Une prose assumée et dont la mise en page facilite bien la lecture. J'ai apprécié.
Je regrette certaines facilités : liquoreuse, musique céleste, torturé de voluptés, bain de luxure, douce Callipyge...
Le reste est ma foi fort bon. Il ne faudrait plus que travailler ces "images" trop facile...
Un agréable moment, pas parfait mais pas s... (22/7/2010) |
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