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Passionnément ↑ |
brabant : Il est né |
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Bonjour Brabant
Première impression à "chaud" :
Que de profondeur, de gravité dans ce poème…
Le poids de la neige… une chape de plomb sur les choses dérangeantes : ce qu'on ne veut pas voir, bien hébétés dans notre univers féerique.
Je manque de perspicacité pour saisir toute la subtilité des images, il me faudra creuser, sans certit... (12/2/2013) |
Passionnément ↓ |
robindespapiers : Larmes en encre |
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J'ai été bouleversé par votre premier chapitre, "solitude", magnifique et déchirante douleur dépeinte de façon magistrale et je reste chaviré par vos larmes ancrées dans une poignante profondeur : "encore un rêve nu qui se vautre dans les cendres... je bois le réveil amer jusqu’à la dernière étoile... espérant que tu paraisses comme une aube fat... (10/2/2013) |
Beaucoup ↑ |
Elie : Fenêtre sur nuit |
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Bonjour
De bien belles choses dans ce texte.
Je souligne avec engouement : "… ses pas s'accrochent au silence de la tuile fumante d'une journée d'été"; "il épouse la solitude aigre-douce d'un homme en contrebas"; "De toits en tuiles"…
J'ai particulièrement apprécié "l'équilibre ne s'attarde pas" qui vaut le "+" de ma notation… de ces e... (10/2/2013) |
Passionnément |
brabant : "Pour qui sonne le glas" |
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Il me faudrait une tête de « Brabant » pour capter ce qu’il sort d’une tête de Brabant !
Eh oh, maître, la barre est un peu haute : c’est un tantinet trop ardu pour mon carafon ! J’ai lu et relu, rerelu, rerere… et ne vois toujours pas où vous vous voulez en venir : je crois que tu dois prendre un malin plaisir à déboussoler tes pauvres lecte... (1/2/2013) |
Passionnément |
Lariviere : Ceci est un poème |
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Bonjour Larivière
À la première lecture, dans les barbouillis de Noël, votre encart racoleur m'a laissé perplexe : on est passé à autre chose… effet subliminal → on y revient : "hum, gros ressort de l'épate !", salut !… ça trotte… "un auteur pour qui ont déjà sonné les trompettes de la renommée ne peut pas avoir cliqué des conneries !" ... (26/12/2012) |
Beaucoup ↑ |
brabant : "Et ron et ron petit patapon" |
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Bonjour brabant
Salmigondis… taratata !
J'ai cherché la transposition d'une actualité : chocolat!… Alors la traduction d'une chronique historique : marron !
Peut-être sortirez-vous le sésame du jaseran ?
En tout cas, noble 'saigneur', aristocrate de la verve et de la truculence, je retiens avec délectation les allusions épigrammatiqu... (16/12/2012) |
Beaucoup |
fugace : À midi… |
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Bonjour Fugace
J'ai aimé votre poème, intimiste, naturel, vrai, beau d'une pudique douleur.
Vous avez parfaitement transcrit l'errance d'un esprit perdu dans la déprime (voire la dépression), ses doutes ("Se rassurer : "Elle est là !"", " Il reviendra, peut-être par une nuit étoilée."), sa désespérance ("Tant de choses à faire ! Les idées... (14/12/2012) |
Passionnément ↓ |
Charivari : Un reflet de forêt dans l'étang |
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Bonjour Charivari
Je ne sais pas si le thème et la figuration sont gémellaires, en tout cas, l'idée est excellente et le résultat à la hauteur du projet.
Faut dire qu'on s'est donné les moyens : la douceur des illustrations bi-chromiques, symétriquement disposées, les rimes duales (embrassées elles eussent été encore plus miroitantes mais ... (3/12/2012) |
Beaucoup ↑ |
Titato : Poème qui se laisse tranquille |
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J'ai trouvé dans ce poème beaucoup de fraîcheur et de candeur sincère, un air d'ailleurs qui nous change des rengaines et des ambiances rebattues.
De belles trouvailles :
"l'or dans le fleuve… un peu de lampe pour lire la gazette de l’eau"
" la pierre fine… dans les yeux de ma bien-aimée ; philosophale, elle en pare l’air de bijoux en pass... (21/11/2012) |
Beaucoup ↑ |
Titato : Ode à celle qui n'est pas née |
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Bonjour Titato
À l'évocation d'une telle tragédie, on s'apprête à entendre un cri de colère, on s'attend à l'humaine révolte, on se prépare aux accents pathétiques. Au lieu de cela, vous nous offrez une tendre comptine toute en pudeur et en retenue.
Vous rendez tangible l'inexistant, vous matérialisez l'incorporel. Je vois le petit être ... (21/11/2012) |
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