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Passionnément |
LeopoldPartisan : Les dépravés : écueil |
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En te lisant (à haute voix) j'imaginais Léo Ferré sur scène...
Je n'ai de mots pouvant traduire toute la force des tiens
Reçois mes plus sincères félicitations pour ce magistral écrit (14/11/2013) |
Beaucoup |
SAINT-AMOUR : Le regard de Marie |
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Bonjour SAINT AMOUR, je suis ravi de te retrouver là, sur Oniris.
J'ai préféré tes deux tercets à tes quatrains (ceux-ci moins "chantants" à mon goût. Sur le fond tu ne seras surpris de mon total soutien, continue de la sorte...c'est ta vraie signature. (5/11/2013) |
Beaucoup |
Robot : Le temps du chemin |
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Certes, sans doute un peu court, mais qu'ajouter?
:-)
En plus court, cela m'eut parlé aussi
-"Le temps s’invente à pas menus".
-"Dépasse en rêve l’horizon"
-"Sur l’océan des âmes mûres"
-"Ne demeurent que peu de marches".
Salutations (21/10/2013) |
Un peu ↓ |
LeopoldPartisan : Les dépravés : écorce |
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A part la dernière strophe (poétique et ma foi magnifique) je n'ai lu qu'un point de vue de journaliste. (21/10/2013) |
Beaucoup ↑ |
jackplacid : Les coquelicots |
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"En les voyant rougir, gentiment, le poète,
Bien plus habitué à ses bouquets de verbes,
Aime y voir des baisers abandonnés dans l'herbe !"
Magnifique! on les dirait tout droit sortis des Contemplations (10/10/2013) |
Bien ↓ |
Lyl_mystic : Syrie |
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"Je me souviens encor, je me souviens toujours,
Mais hélas les oiseaux ne sont plus que vautours,
Et la terre a vu naître un ventre de boyaux,
Où s’entassent les corps dans des couloirs nouveaux."
C'est le quatrain que je préfère
Les 2 dernières strophes font un peu comme enterrer le Très Bien que j'allais t'octroyer (10/10/2013) |
Beaucoup ↑ |
Mona79 : Quand le rêve meurt |
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Avant même de comprendre le sens de tes mots je me suis laissé porter par leur musicalité...c'est un sans faute harmonique
A la deuxième lecture le tableau que tu nous offres prend vraiment corps, il s'anime avec grâce (cygne oblige), et les teintes contrastent à mesure que ton rêve ne meurt enfin
bref, j'ai adoré (10/10/2013) |
Beaucoup |
Brisemarine : Printemps désenchanté |
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Un sincère exposé d'une révolution "désenchantée"
La profondeur de ta désillusion n'empêche un cri d'espoir, celui là même que ta plume emprunte aux luttes de toujours.
"Il vente et pleut à flots sur les âmes meurtries ;
Et le rêve dérive à l’horizon brûlant
Où rugit l’inconnu comme un typhon cinglant
À l’heure des départs et des larm... (10/10/2013) |
Beaucoup |
papipoete : La Scala de Saint-Germain |
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J'ai fortement apprécié, cela se lit avec un plaisir certain.
La scène est bien plantée et les couleurs ajoutent au charme poétique.
Mon regret...? J'en attendais peut-être une chute plus "spectaculaire"...quand on est au "théâtre" on en attend le clou.
:-) (13/9/2013) |
Beaucoup ↑ |
Lapsus : Le pas de l'autre |
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Une lecture des plus plaisantes sur une idée qui donne envie d'écrire.
Ici philosophie et poésie font le miroir d'une seule quête...se retrouver en l'autre.
mes félicitations (8/8/2013) |
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