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| Bien ↑ |
LenineBosquet : L'usine hantée (usitant "t") |
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Je ne suis pas fan du registre du langage mais ce texte engagé ( enragé?) à un fond si juste que j en oublie la forme. (23/7/2016) |
| Beaucoup ↑ |
emilia : À l'ardent chèvrefeuille... |
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Un poème bien doux et agréable. On sentirait presque le parfum du chèvrefeuille nous enivrer.
Tout est beau mais j aime particulièrement le dernier tercet :
Grimpante mellifère à l’odorante ombelle,
Veille sur l’oisillon modulant en douceur
Un chant d’appel plaintif sous la vive chapelle…
Merci pour ce partage. (23/7/2016) |
| Beaucoup |
Arielle : De lierre et de rouille |
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De belles images dans ce poème qui oscillent entre calme absolu et vie tumultueuse.
Une bien belle lecture. (22/7/2016) |
| Beaucoup |
Koubi33 : Alors ne nous aimons plus |
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Une chanson simple certes mais efficace et sincère. J ai aimé les mots que vous utilisez : ils sont justes et modernes.
Un bien agréable lecture. (22/7/2016) |
| Passionnément |
Vincent : Le collier d'émotions |
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J'aime ce poème délicat et touchant.
Quelle belle idée ce collier d émotions.
Un beau moment de lecture , bravo (21/7/2016) |
| Passionnément |
Curwwod : Resquiescat |
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Encore un poème d une grande beauté.
Romantisme, délicatesse, mélancolie sont vraiment des mots qui caractérisent votre plume.
J ai aimé le mystère qui plane sur cette femme : derrière sa voilette sage, ne se cacherait-il pas un assassin ou une amante croqueuse d'homme ? Peut être une dame Landru?
Un soupçon de noirceur vient relever le to... (21/7/2016) |
| Passionnément |
Curwwod : Guerlédan [Sélection GL] |
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On sent une nostalgie et une grande tendresse dans ce poème.
C est plus qu un village qui disparaît : la vie.
"Un monde clos ": c est un univers qui disparaît.
L eau a emporté la vie mais elle a surtout englouti avec elle tout une époque désormais révolue. (21/7/2016) |
| Beaucoup |
Curwwod : Sérénade |
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Quelle musicalité dans ces vers ! Qu importe d être comte de Séville ou d'ailleurs ? Avec une plume pareille, il faudrait être bien bête pour ne pas tomber sous le charme d'une telle sérénade.
Qu'importe le flacon pourvu qu on est l ivresse !
Merci pour cette lecture. (21/7/2016) |
| Passionnément |
Curwwod : Boulevard Beaumarchais |
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En lisant vos vers, je n'ai pu m'empêcher de penser à " à une passante " de Baudelaire.
Dans vos poèmes, on ressent toujours un peu de tristesse, de mélancolie et du regret. Vous avez l âme torturée et amoureuse du poète romantique, le poète d un autre temps, d une autre époque.
Merci (21/7/2016) |
| Passionnément |
Curwwod : Passage... |
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Une plume d une délicatesse extrême !
Dans ce poème, on se promène dans un univers où nostalgie, mélancolie, tristesse et résignation en bornent le chemin.
Une belle métaphore de la vie. (21/7/2016) |
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