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Passionnément |
Yannblev : La complainte du couteau |
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Enfin, ai-je envie de dire, une poésie réjouissante pleine d'humour et de fantaisie. Une poésie bien loin du style compassé, emphatique, un rien pédant, qui a trop souvent cours, à mon goût sur ce site.
Un grand merci pour ce vent de fraîcheur. La versification me semble fort habile, et j'ai adoré les patates finales.
PlumeD (10/10/2020) |
Beaucoup |
papipoete : Convolvulus |
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Un poème charmant, finement ciselé. Oui, tout à sa place, son utilité dans ce monde, et j'aime que l'on s'intéresse aux plus négligés ou aux plus mal-aimés.
j'ai adoré la troisième strophe et son "intarissable tétine.
Merci pour cet envoi. (15/6/2020) |
Beaucoup |
Mistingo : L'élisstricité stastik |
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Que ce poème fait du bien en sortant des sentiers battus ! Que l'idée en est étonnante et belle ! Mélange de poésie et d'humour qui fait jaillir des étincelles...comme le pull-over en question.
Pour un premier poème sur Oniris, un grand bravo, j'en redemande. (28/5/2020) |
Un peu |
Melorane : Passage |
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Je ne doute pas de la sincérité de ce poème, mais cela suffit-il à ce qu'il ait, disons, une qualité littéraire ? Cela ne me semble pas ici le cas. Je m'excuse d'être en décalage avec les commentaires des autres Oniriens. (21/5/2020) |
Pas |
Lariviere : Les sources primitives |
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Je ne vois pas bien où est la poésie là-dedans. Pour moi, ce sont simplement des réflexions critiques sur notre société.
Je suis toujours étonné que l'on puisse transformer quelque phrases en vers hachés, ici...92 ! pas moins, pour ce qui tiendrait en quelques lignes.
Quant au fond, ma fois, rien de bien nouveau. Désolé (15/5/2020) |
Beaucoup |
Vincendix : Le ruisseau de mon enfance |
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Voilà une poésie simple comme je les aime. Aucune emphase ici, aucun tape à l'œil, mais tout y est dit si joliment, joliment comme l'eau limpide des ruisseaux. (13/5/2020) |
Pas |
MissNode : Vert feuilles |
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Je m'excuse, mais je ne trouve guère de poésie dans ces vers. En sont-ils d'ailleurs? Je n'y vois, pour ma part, que quatre phrases découpées en vers, mais je sais, le procédé est repris par bien d'autres.
Tout ça ma parait bien fade. Désolé. (28/4/2020) |
Pas |
Castelmore : Fureurs |
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Les vraies douleurs sont silencieuses où quand elles s'expriment c'est toujours sobrement. Ici, rien de tel. Quel pathos !
"Dans cette glaise froide où j'ai posé ton corps
Je rampe, je me tords, je creuse vers le fond"
On n'est pas loin du Grand-Guignol. Je sais, il s'agit d'une révolte, mais tout de même !
Je m'excuse pour ce commentaire bi... (18/3/2020) |
Beaucoup |
Aconcagua : L'annonce |
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J'ai été très touché par cette poésie où chaque vers, chaque mot dit une détresse qui ne peut être feinte... Réelle, trop réelle. Aucune emphase ici, aucune redondance, la douleur nue. Merci, courage. (17/3/2020) |
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