Les Évaluations de SaulBerenson

Les évaluations de SaulBerenson

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Bien	Narbah : Les yeux fous
	Evidemment, mêlé Dali à des nains de jardin est risqué sous toutes les latitudes. Les plus courts polars sont souvent les meilleurs. Celui-ci adopte en plus un style direct avec des points d'exclamation où il faut. J'ai deviné la fin dès le "j'ai allumé la lumière", je ne serai sans doute pas le seul. Un paragraphe ou deux de plus auraient p... (16/12/2020)
Un peu	Dolybela : Léo ou Les flocons
	Peut-être que quelques ponctuations mieux placées rendraient ce texte plus fluide. Je me demande si Léo s'aime, élément indispensable pour détester les autres. Que la grand-mère aille se faire foutre, bien sûr, mais une fois les pétards éteints et le rap démodé..? En attendant on peut toujours penser à son chien... (14/12/2020)
Vraiment pas	scatterbrain : Cas contact
	Impossible à terminer en gardant les yeux ouverts. Long, long comme un jour de pluie sans pain. Dystopiquement trop correct je dirais, puisqu'il faut bien dire quelque chose. (12/12/2020)
Un peu	hersen : Nue-propriété
	"La vérité est limpide", mais pas ce texte qui l'est trop, ou pas assez. Les mots sont jetés de ci de là, mélangeant flore et faune d'un entrelac vivifiant; un ver conquistador dans un jour vantard y croise, entre autres, une sauterelle boulottant du basilic. Bon, pourquoi pas après tout ? Mais alors" cul par-dessus tête", et après un bon pét... (11/12/2020)
Un peu	Luz : Partir d’enfance
	L'horizon à bien une fin puisqu' à force d'aller toujours plus loin on revient toujours à son point de départ. Le narrateur solitaire a ainsi claqué quelques portes et peut être semé un peu de bonheur dans sa vie d'errance. Ayant enfin appris à aimer, il peut ainsi se blottir dans les bras de sa terre-mère. Texte simple et bien écrit. Peut... (1/12/2020)
Un peu	Lariviere : Rien à voir d’extraordinaire
	Le main d'Allah qui frappe la grosse masse grise capitaliste qui aime Israël étouffant les frères et sœurs musulmans...bon, pourquoi pas ? Je ne sais pas à quel degré il faut prendre cette nouvelle. Le rythme imposé d'une phrase unique semble indiqué un état qu'un euphémisme policier qualifierait de "très agité". Nous avons donc là un "suspe... (1/12/2020)
Bien	ambrosetathoe : Le reclus du dernier étage
	Je me suis tant laissé bercer par le style que l'intrigue m'est passé au second plan. Ecriture riche mais jamais prétentieuse, le talent se passe de pompes, notre ami(e) peut ainsi marcher sans ampoules. Seul regret; "Morphée", inévitable cliché qui tache, mais que beaucoup dont je suis lui pardonneront. Question cohérence, puisqu'il faut... (27/11/2020)
Un peu	PlumeD : La prisonnière
	J'ai dû lire le texte à plusieurs reprises. Le bruit qui réveille Germaine n'est pas le séchoir poussé à terre par le vent, mais un Père Noel qui "balle" contre un mur. La vieille dame, puisque il faut supposer qu'elle soit vieille, se trouve donc "enfermée dehors", selon l'expression commune. Environnée de plastique, elle ne doit son salut qu... (26/11/2020)
Beaucoup	clarix : Les pilules d'humanité
	Bravo pour ce texte militant et clairement écrit. Je ferais bien moi aussi le "pari transmanien", qui propose en fait de vivre moins longtemps, mais en parfaite santé. Le seul problème étant, comme le narrateur, de vieillir sans soins, mais est-ce plus risqué que de rater son suicide ? Le débat est ouvert. Intéressant. (26/11/2020)
Un peu	KevinL : La conspiration des complotistes
	Covid version Stasi il fallait y penser. Référence à Aldous, à qui même on ne peut plus se fier. Ecriture limpide et digeste. Peut être quelques clichés auraient pu être évités; laisser Morphée dormir tranquille par exemple. (25/11/2020)

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