Pastiche de l’interview journalistique, "Dix ans de douleur" met en scène deux femmes : l’une otage, l’autre kidnappeuse. Mais qui est la vraie victime ? Et faut-il vraiment une victime d’autant que l’écrit suit la logique du "syndrome de Stockholm" ?
Il me plaît à penser que l'homme n'en serait pas venu à écrire, s'il n'avait d'abord voulu s'écrire lui-même, dans son ravissement d'être, dans la perception naissante de sa finitude.
Un homme à l'âme jeune est plongé dans la guerre et nous fait vivre celle-ci à travers sa personnalité et son expérience. Une nouvelle de Ryze et un classique du genre, où dans un discours parfois grossier et populaire se cachent des idées d'une intelligence et d'une émotion caractéristiques.