Sont mariées en mon cœur…
Une passion en trois saisons.
Le pouvoir du verbe.
Parce que leurs voiles quelques fois me sont frustrants.
Deux quatrains sans prétention pour un peu d'optimisme à l'âge qui avance.
Après une longue absence dans les couloirs de l'indicible.
… et passion jetable.
Fragment d’un discours amoureux.
Petit coup de vent amusé sur nos images d’Épinal.
En écho à Barbara…
Mouvement, stabilité, constance.
Rêve de gloire, la vie en scène…
Nous nous réjouissons de la lumière et, peut-être parce que nous ne savons pas de quoi demain sera fait, nous chantons la vie passionnément.
Bavardages au bord du canal du Midi… à quatorze heures. Le vieux saule de Trèbes, depuis, est tombé, mort en silence : la sagesse des arbres.
Et autres peintures de Gustave Caillebotte…
Volant dans cet espace de l'école buissonnière.
« Les douces courbes innombrables qui font d’un corps de femme, pour l’homme qui en est amoureux, un paysage qu’il n’en finit pas de découvrir et que chaque mouvement rend nouveau comme au jour de la création. » René Barjavel