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Bien ↑ |
MissNode : Aquarelle cévenole |
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Un joli poème d’atmosphère qui me semble cependant hésiter entre beauté des images et prosaïsme de certaines formulations.
C’est la première strophe qui me paraît plutôt fade, par comparaison avec les suivantes.
Ainsi :
« les fournaises du couchant
déteignent sur les vagues des collines »
ont un goût de déjà vu, font perdre en force poéti... (9/3/2017) |
Bien |
Paul777 : Le temps |
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Bonjour,
Ah ce fameux temps! Rien de bien nouveau à l'horizon, en somme :)).
Ceci dit, pour un texte écrit d'un trait, certainement brouillon mais sincère, c'est pas si mal!
Vous avez le sens du rythme mais une tendance à l'énumération et aux formules rebattues :
"au gré des vents contraires "
"Cet océan de pleurs qui t’a toute emportée... (12/2/2017) |
Bien |
MajorTom : Du bout de son pied nu |
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Une jolie bluette que j’imagine plutôt en chansonnette. Associé à la longueur du récit, le choix de l’hexasyllabe donne un rythme vif et léger qui s’y prête tout à fait.
Etant donné le classement du texte en poésie classique, je me permets ces quelques remarques :
A deux reprises, vous rompez l’harmonie par une erreur de prosodie :
7ème st... (12/2/2017) |
Un peu |
kiralinconnu : L'âme d'artiste |
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Bonjour Kiralinconnu,
Sur le fond, je dois dire que je n'adhère pas du tout à votre vision : c'est donc si peu pour vous l'âme d'un artiste? Et que vient donc faire le bon dieu là-dedans?
A moins que vous ne la jouiez " Poète, vos papiers!"
Sur la forme, le texte est plaisant à lire, fluide à souhait, bien que les 7ème et 8ème vers en cas... (29/1/2017) |
Bien ↑ |
papipoete : Rudes frimas |
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Bonjour papipoete,
Non, vous ne radotez pas ! Même si l’on dit que « vivre avec le passé c’est voler le présent », ça fait du bien de se remémorer ces choses vécues qui font ce que nous sommes aujourd’hui.
Votre poème comporte de belles trouvailles, bien servies par des sonorités éloquentes :
« dessine des douves de glace »
« brouit la châ... (21/1/2017) |
Beaucoup ↑ |
Yavanna : Ma nuit violine |
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Voilà tout ce que j’aime !
La sensation brute du plaisir poétique, comme un choc immédiat, jute avant que l’esprit n’intellectualise.
J’aime la puissance émotive de vos associations d’images, comme cette douce nuit utérine au ventre distendu » ou ces « tendres collines où passent des fées à l’haleine de mousse »
Il y a une vraie richesse des... (28/12/2016) |
Beaucoup |
Pouet : Sur le fil des saisons |
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Bonjour,
Un poème léger comme une ritournelle mais au coeur plus sombre qu’il n‘y paraît.
De quelle primitive fêlure est-elle le reflet ?
Les saisons s’égrènent mais le petit garçon blessé semble figé dans la réalité insaisissable et fuyante de sa solitude.
La douceur du ton et la pureté du mouvement s’inscrivent en contrepoint de la noirc... (27/12/2016) |
Beaucoup ↑ |
Lylah : Alchimie |
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Bonjour Lylah,
C’est un très beau texte, dont le titre est à prendre au sens littéral car vous avez un talent sûr pour transformer les mots ordinaires en pépites et l’amour en ce qu’il a de plus pur.
Tout simplement, je me suis laissé porter par la densité de votre écriture, le charme, la grâce de vos images et la tendresse qui les sous-tend... (15/12/2016) |
Beaucoup ↑ |
Sodapop : Monstruosité urbaine |
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Un poème expressionniste! J'adore. Et si en plus vous citez Verhaeren, qui voyait en la ville une force maléfique qui détruit les hommes...
Que dire? Votre poème, c' est un tableau de Bacon. Vous ne cherchez pas simplement à montrer la ville telle qu'elle est, vous "l'exprimez" : ville-prostituée, rues criminelles marquées par la souillure, v... (9/12/2016) |
Un peu |
Dimity80 : À t’en laisser partir |
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« je t’aime à t’en laisser partir » : jolie trouvaille que ce vers judicieusement placé à la fin des deux strophes, qui sonne comme le glas de votre amour.
J’aime aussi le rythme de ritournelle que les hexasyllabes confèrent au poème.
Pour le reste, je trouve que le traitement du thème – rebattu en poésie – de la séparation manque d’élévat... (6/12/2016) |
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