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Beaucoup |
MissNode : Sang qui tousse |
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Bonjour MissNode,
Quel est donc cet oeuf ? Celui de la vie, celui du cerveau, le point de départ de tout ce qui s'annonce, s'énonce, hésite, saigne, et finit par se laisser vomir de gré ou de force ?
Et ce ça ? Il sort de l'oeuf ?
Une quinte mais rien ne s'efface ?
C'est pour moi un questionnement, une apostrophe, et j'adhère. (15/6/2015) |
Passionnément |
Cox : Dans le sommeil de la nuit |
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Bonjour,
J'ai apprécié les personnifications de tous les éléments qui participent au décor, à la vie, d'une nuit urbaine ordinaire. Le trajet de l'homme hagard qui erre du premier au dernier quatrain se reflète dans la ville, sa tristesse et sa solitude dans un environnement pourtant peuplé et coloré n'en prennent que plus de relief. Tout ici s... (15/6/2015) |
Beaucoup |
sqark : La vigie qui boucle |
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J'ai le sentiment que nous marchions tous sur un sentier doré et que nous avons tous entendu la vigie. Maintenant nous sommes en panne, les temps suivants ne seront-ils plus meilleurs que les précédents ? C'est ma compréhension de ces mots, ou plutôt de cet ensemble, je ne saurai pas non plus trouver du sens dans chaque expression, ou dans chaqu... (11/6/2015) |
Beaucoup |
funambule : Ma vie de... |
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Entre chaleur et pluie, entre vie et mort, entre amour et lassitude, des mots qui lancent des ballons roses qui retombent en cendres ... une vie dérisoire, de secrets, de hasards ?
C'est doux, pas comme une caresse, comme un spleen, enveloppé dans une voix chaude, grave et lente. (8/6/2015) |
Passionnément |
Automnale : Lagatjar |
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C'est mélodieux, évocateur, et doux, si ce n'est la cinquième strophe, dont le coup de tabac retentit avec tumulte, comme pour nous sortir de la rêverie, qui finalement s'effondre.
Gros coup de coeur pour "l'ambre des sillons". (3/6/2015) |
Beaucoup |
Francis : L'estaminet d'Alice |
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Un grand plaisir de lecteur ! L'estaminet prend vie, le partage, le moment de détente, puis les rires et les émotions chaleureuses d'une fraternité de travailleurs.
Comme l'a exprimé un autre lecteur, on peut y retrouver d'autres métiers, ici agricoles, ailleurs industriels. J'ai moi-même ressenti le milieu des marins, des pêcheurs "amarrés au ... (31/5/2015) |
Beaucoup |
Anonyme : Lettre à Senghor |
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C'est tellement sensuel ! On voit, on entend, on sent, on goûte et surtout on imagine, on rêve, emporté par des flots d'images. (28/5/2015) |
Bien |
Michel64 : L'appel |
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C'est léger, délicat, mélodieux et j'apprécie la fraîcheur printanière de l'ensemble. Je trouve cependant la tournure "Qu'il m'apparut ... " "Que c'était l'appel du Printemps" assez lourde, et assez pauvre. (28/5/2015) |
Beaucoup |
Lotier : Roue de la fortune |
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Après la surprise, en ouvrant la page, de ce beau ballon, j'étais impatiente de rencontrer les mots. La rondeur se décline, ainsi qu'un long clin d’œil, dans un univers qui frôle la magie. Un délicieux moment ! (26/5/2015) |
Beaucoup |
papipoete : L'aube de mon enfance |
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Je n'ai connu ni l'époque ni le lieu et cette description soignée m'embarque. J'aime les précisions topographiques d'un vécu authentique.
Je suis d'accord avec les commentaires sur "six ans là" trop miroir du quatre ans du premier vers, et associé à un "là" qui rompt le rythme.
Les virgules des 6ème et 17ème vers conduisent à prononcer le e qu... (23/5/2015) |
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