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Beaucoup ↑ |
Chene : Les silences |
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Tous les mots de ce poème sont vivants, ils disent ce qu'il nous arrive d'éprouver et de ressentir très souvent. Je suis sous le charme depuis le premier vers jusqu'au dernier. Bien aimé cette intervention du vent, porteur des messages silencieux qui viennent du coeur. (22/12/2013) |
Bien ↓ |
Fanch40 : Douceur matinale |
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Bien que quelques images poétiques : .
" ... une robe diaphane ... Des langues de brouillard musardent sur les champs ...
Le soleil, en perçant, étale sous mes yeux
Des milliers de diamants brillant de mille feux ;
Éphémère trésor, célestes pierreries
Répandues sur le sol de ma joaillerie."
émaillent cette poésie contemporaine, je l'ai pl... (8/12/2013) |
Bien |
Fanch : L'être que nous étions... |
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J'apprécie cette mise en vers sur "L'être que nous étions ...". Réaliste ce constat qui explique peut-être le pessimisme ambiant de la société actuelle. Le dernier vers m'attriste car je refuse cette "mort" présentée comme inéluctable. Ne faudrait-il pas cultiver la "folie" pour échapper à cette destinée proposée ? Ne pas rester " Ignorant des ... (25/11/2013) |
Bien ↓ |
Pluriels1 : Pluie soudaine |
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Cette pluie m'a surprise par sa "lourdeur" dans les deux premières strophes. Les mots me donnent l'impression de se bousculer, mais c'est peut-être ce que produit, à l'oeil et à l'oreille, une "Pluie soudaine".
La poésie m'apparaît dans les deux dernières strophes et plus spécialement avec "les toits ... sèchent leurs pleurs ... " jusqu'à "s'o... (23/11/2013) |
Beaucoup |
Cristale : Le banc |
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C'est curieux, l'incipit ne me dérange pas. Peut-être parce que j'affectionne ces mots chantés par Jacques Brel. Très beau sonnet qui nous laisse bien attendris en fin de lecture. Associer la saison d'automne au dernier tiers ou dernier quart du voyage terrestre n'est pas nouveau mais ici je n'ai pas ressenti de tristesse ou de regret, seulement... (17/11/2013) |
Beaucoup ↑ |
Meaban : Artifices de guerre |
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Violence et haine sont pratiquement absentes des mots et pourtant nul ne peut contester la violence et l'horreur du thème. C'est peut-être là tout l'art et la puissance du verbe dans la poésie.
La première strophe plante le décor. A lui seul le premier vers suffit à faire naître le spectacle.
Artifices ... oui puisque les mots tentent d'attén... (16/11/2013) |
Bien ↑ |
belaid63 : Ma ville |
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Un instantané ! C'est l'impression que me laisse ce court poème surgit, enfin j'imagine, brusquement, un soir ou une nuit en rentrant, les mots et les pensées se bousculent il est impératif de les poser sur le papier. La succession des vers, très courts parfois, juste un seul mot, traduit exactement l'intensité du ressenti. (15/11/2013) |
Un peu |
chris : La toile d'araignée |
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De belles descriptions mais je trouve que ce texte manque d'émotion. Trop d'articles aussi " le ... la ... les ... " freinent l'élan poétique suggéré par les images. Quelques mots parsemant l'ensemble ou même un seul vers suffirait à donner une "âme" à cet écrit. (14/11/2013) |
Beaucoup |
Robot : Un tissage imparfait me vaudra-t-il l’enfer ? |
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Originale façon de parler des inachevés, des rêves abandonnés, des amours durables et même des derniers instants d'un voyage sur terre. Pas envie de disséquer ce poème, les images me plaisent, me parlent et sont en concordance, je crois, avec ce qui fait une vie pleine, riche malgré tout et bien remplie.
Ah ! le titre ne m'a pas du tout engagé... (13/11/2013) |
Bien ↑ |
Arielle : Ritournelle à mains nues |
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Belle ritournelle. Légère et sérieuse à la fois, le message qu'elle délivre est très réconfortant.
L'écriture en est toute simple et cependant très musicale.
Ma strophe préférée est :
" Mais si les saisons nous rudoient
dans le feuillage de nos doigts
bruisse encore un vent d’allégresse " (3/11/2013) |
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