Connexion
Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche
|
|
Passionnément ↑ |
Hiraeth : Portrait d'un vampire |
|
Les quatre premiers vers donnent le ton avec cet impératif, "prenez-garde"! L'hyperbole du titre "Portrait d'un vampire" renforce cette idée que l'on a affaire à un buveur de Beau qui encense la forme et méprise le fond.
Ce faiseur de vers est au pire un escroc aux yeux du narrateur, au mieux un prestidigitateur :
"Je sais que tu fondas ta ... (4/12/2020) |
Beaucoup ↑ |
Charivari : Quand Gainsbarre se barre |
|
On retrouve les titres, les moments marquants, la personnalité même du chanteur, la patte de Gainsbourg, le tempo de sa musique si particulier, son univers... Belle imitation.
Le son s'enfuit par moment, la qualité manque au rendez-vous : c'est le point faible.
Mais le travail est tellement soigné par ailleurs que je ne peux qu'apprécier ... (28/10/2020) |
Beaucoup |
Pouet : On fusille l'été et en hiver on creuse |
|
La première phrase est poétique.
Voici en direct la mort d'un lapin peut-être nouvellement né, vu par un narrateur qui observe la scène avec distance : "ça fait tap tap tap, ça gratte un peu et puis ça hurle et ça s’arrête". Il est sans empathie comme le serait un très jeune enfant qui ne comprendrait pas ce qu'est la mort.
Des trouvaill... (26/10/2020) |
Passionnément |
Wencreeft : Les avions de papier |
|
Ce que j'ai surtout aimé, c'est l'élan du poème, les mouvements ascendants, planants, descendants et bien sûr au dernier vers, l'avion, comme un vaisseau qui s'échoue là où il devrait nécessairement se poser, guidé par l'espoir.
Ce poème est simple. En apparence, seulement !
Rien ne vient heurter l'oreille pour figurer l'avion porté par le... (26/10/2020) |
Passionnément ↑ |
Cristale : L'instant propice |
|
Bonjour Cristale,
Gros plan sur une petite goutte qui voyage selon le dénivelé, un souffle, un rire...
J'ai suivi son parcours avec des yeux d'enfant jusqu'à l'avant-dernier vers. Je me suis dit : "comme c'est juste et joliment écrit".
Puis, le dernier vers m'a fait tout à coup changer de registre. je suis redevenue adulte. Quel réveil !
... (13/10/2020) |
Passionnément ↑ |
Cristale : Les draps de l'automne |
|
Bonjour Cristale,
Deux périodes : le printemps des amours, la jeunesse, connotés par les mots comme "hirondelles, doux clapotis, rirournelles, promesses éternelles, Sélène, délicats chuchotis..." et puis celle de l'âge mûr, de cet amour vieillissant représentés par "l'automne où plus rien ne l'enfièvre, genièvre, sanglots, rives du rêve..."
... (27/9/2020) |
Beaucoup ↑ |
Miguel : L'enfant qu'on m'a volé |
|
Le ton fait penser à une tragédie classique, l'écriture presque exaltée semble nous plonger dans un passé littéraire révolu.
Et pourtant, l'action est bien contemporaine puisqu'on y parle "de test positif".
D'ailleurs, dans ce cas précis, c'est la femme qui domine, maîtresse de son avenir, de son corps, libre, indépendante.
Elle exerce son... (20/9/2020) |
Beaucoup ↑ |
RuedeC : Boire la tasse |
|
Voilà une poésie libre comme je les aime.
J'étais avec vous sur le chemin, j'ai vu à travers votre regard la mer, la roche... J'ai senti l'eau, le vent, je les ai vus et sentis comme vous les voyez, les ressentez : un regard à la fois singulier et universel qui fait que je me suis identifiée au personnage, assimilée au paysage.
Rien n'est gr... (18/9/2020) |
Beaucoup ↑ |
Lariviere : Les jours jaunes |
|
Dire si peu, c'est parfois révéler beaucoup.
Une sorte d'anaphore se décline en plusieurs nuances, se teinte de la même mélancolie:
"J’ai écouté la radio. C’était triste.
J’ai regardé la télévision. C’était triste.
J’ai caressé le chat et j'ai vu des pigeons. C’était triste.
J’ai senti le parfum d’une très belle fleur. C’était triste."
... (16/9/2020) |
Beaucoup ↑ |
Donaldo75 : Psaume |
|
Dans la première strophe et le dernier vers, le narrateur emploie le pronom personnel "nous" qui renverrait à une partie de l'humanité innocente, consciente, qui s'interroge et l'autre partie, représentée par le pronom "les", comme extérieure, insouciante, opportuniste, consommatrice effrénée de plaisirs artificiels, ignorant l'apocalypse immin... (9/9/2020) |
|