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Bien ↑ |
Gabrielle : Esquisse |
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Bonjour,
Esquisse lunaire, d'âmes, de solitudes.
J'aime beaucoup ce "Ciel aux mille visages", lorsqu'on s'évade, qu'on espère une présence au bord de la nuit.
La répétition du mot "lunaire" me dérange un peu.
Un poème agréable à l'oreille. De belles images. (7/2/2019) |
Un peu |
Corto : L'arbre |
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Bonjour,
Un poème sur l'arbre et la forêt, l'homme et la foule.
Quelques vers un peu longs, sans trop de musique.
Pourtant ce poème est riche de sens et de tendre complicité.
Il me manque juste quelque chose, une note plus légère. (7/2/2019) |
Bien |
VictorO : Temps mort |
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Bonjour,
L'image du pépé qui tourne en rond dans son bocal, emprisonné dans son passé à Buchenwald, est très forte.
L'enfance qui ne sait pas encore, le pépé qui ne peut témoigner, la souffrance qui étrangle les mots.
Il y a ce vers qui heurte ma lecture : "Et beaucoup flottaient à la surface". Le "Et" peut-être ?
Et aussi le "Mais" un peu... (6/2/2019) |
Beaucoup |
Donaldo75 : Ceci n'est pas un poème |
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Fin de tonalité /trou dans les écoutilles / indépendants / et / sans leurs douze béquilles.
J'entends comme un air de liberté d'images, hors du carcan de la ponctuation, de la rime calculée.
Et si on enlevait les barbelés... si on peignait les mots évadés du tableau, loin de la règle implacable qui tape sur les pieds.
Enfin je le vois c... (21/1/2019) |
Beaucoup |
Anje : Plume et fusil [concours] |
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Bonsoir,
Je pense à Apollinaire, ce "poète combattant", en vous lisant :
"Si tu voyais ce pays, ces trous à hommes, partout, partout ! On en a la nausée, les boyaux, les trous d'obus, les débris de projectiles et les cimetières."
Le terme boche ne dérange pas puisqu'il a la couleur de cette époque.
Les mots le tiennent debout, comme les ch... (27/11/2018) |
Passionnément ↑ |
Vincent : Comme des frères |
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Bonjour,
J'ai aimé ces deux voix.
Quelque part la vie papillonne, ailleurs elle se cache, ailleurs tu n'es pas même un homme debout.
Ici la beauté prime, ailleurs elle est profane et alors massacrée.
Ici tu vis, ailleurs tu n'es qu'une ombre.
Un très beau poème joliment accompagné par ces notes et ces voix.
Merci pour ce moment. (27/11/2018) |
Beaucoup ↑ |
wancyrs : Tu es heureuse, ça me réjouit |
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Bonjour,
J'aime le poème mais moins le titre.
"Le pianiste fausse une note", c'est intéressant.
"Mes doigts n'ont jamais su se taire."
L'ensemble est comme une partition, des notes soleil, des notes ombre.
Le dialogue anime l'ensemble et le tout donne l'impression que la vie est une mélodie.
La première strophe resplendit, elle luit.... (27/11/2018) |
Beaucoup |
Robot : Mon grand-père était philosophe |
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Bonjour,
Au moins on se souviendra de lui comme d'un bon vivant.
J'ai bien aimé ce grand-père que vous décrivez-là qui se moque un peu de la mort pour l'éloigner un peu, lui montrer qu'il n'a pas dit son dernier mot.
Le fils hérite du briquet, de la flamme de l'ancien, la fête continue...
Poème agréable et chantant. (23/11/2018) |
Beaucoup |
Sarah_K : (R)évolution |
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Bonjour,
Vous ne pouvez vous moquer que parce que justement vous maitrisez parfaitement la langue et vous la chérissez. Oui, le français est compliqué et la poésie classique ardue avec toutes ces règles. Mais que serait la liberté sans quelques règles de sagesse ?
Merci pour ce poème (3/11/2018) |
Beaucoup ↑ |
papipoete : Au bas de Fourvière |
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Une scène de rue qui nous transporte dans un autre temps.
L'histoire est belle, la voix et la musique s'accordent parfaitement à cette ambiance d'antan.
Merci les artistes. (24/10/2018) |
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