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Bien |
myshadows : Cris de douleurs |
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Poème désarmant par son message aux accents aussi pieux que sanglants (paradoxe digne de la martyrologie d'antan), qui atteint à des sommets de la sensibilité avec "la plaie des mots" et "Le Soleil ne se couche pas sur les mots."
Pathos explosif, surtout au seuil de la chute.
On peut y voir un essai touchant d'art-thérapie. (5/8/2017) |
Beaucoup |
Provencao : Secret froissé |
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Un poème plein de délicatesse, où tout respire et prend corps, suavement, petit à petit, de l'aurore en soie
à l'oreiller de l'intime, en passant par le camaïeu des fragrances conviées à une fulguration de la sensibilité...
Le froissement est surmonté en poésie, le secret susurré avec grâce. Ces trois tercets sont un dépassement en pointillé... (5/8/2017) |
Passionnément |
Ramana : Si peu de choses |
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Simplicité savante, écriture légèrement archaïsante, lueurs sublimes qui surgissent au détour des paradigmes de l'être et du devenir...
Une strophe qui ravit l'esprit, par son naturel frémissant, entre naissance et évanescence (inévitable rapprochement), entre Oniris et les ailleurs de la vie:
"Je suis né d’une sérénade
À la lisière d’un été... (27/7/2017) |
Beaucoup ↑ |
Myndie : Les esprits aériens |
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Gracieux "comme un effet de style". Diaphane. (25/7/2017) |
Beaucoup |
BeL13ver : Singe savant |
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Climat romantique, "écume des mots" à cueillir suavement. (25/7/2017) |
Beaucoup ↑ |
Cristale : Intime symphonie |
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Délicatesse et virtuosité. Un pastel lumineux!... (25/7/2017) |
Beaucoup |
Cristale : Hors piste |
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Suave et ludique; beaux contrastes entre "la Faucheuse [qui] exhibe à demi nue, /Telle une torera, ses seins pour le tombeau" et cette "muse endormie", comme une enfant, pour le bonheur onirique du poète... (25/7/2017) |
Beaucoup ↑ |
Arielle : Le sel des vieux amants |
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Des lueurs de génie et des sourires en pente.
Inoubliables, ces "contours ensablés du vécu"!... (25/7/2017) |
Beaucoup ↑ |
papipoete : Tangage |
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Poésie mûre, à la cadence solennelle, pour dire la fragilité avec art...
Un masque de plus tombe sous cette plume rêveuse, assoiffée de vérité autant que de mythe:
"Je me raccroche à l'arbre du décor"...
Et la Brune? à côté de Zeus, elle semble une âme errante... chevelue bien sûr. Une muse secourable... (25/7/2017) |
Beaucoup |
Michel64 : Absence |
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Ce sonnet me semble faire écho à Ronsard, en invitant à un autre "carpe diem" que le sien
-"Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie"... -
...l'éternel rêveur a éternellement tort? (7/7/2017) |
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