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Beaucoup |
Robot : Jour sombre |
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J'aime beaucoup votre texte pour la petite musique triste de certaines images " les reliefs sont vêtus d’imperméables gris" "l'étain du brouillard" "la forêt ...semble s’effilocher" "la suie de ma mélancolie"
J'apprécie également l'allitération de la strophe 4 qui fait entendre ces "souffles" en attente de la pluie.
Merci Robot pour ce pa... (21/3/2018) |
Bien |
Robot : Contre-danse |
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Texte charmant dont le rythme évoque joliment celui des danses où le narrateur sourit de ses maladresses "mon tango tangue" "charleston... en dévers"... Humour plaisant retrouvé dans le titre.
Dommage que l'expression "sans aisance" ne soit pas du tout euphonique !
Quant aux deux tercets, ils semblent un peu "légers" mais la spontan... (20/3/2018) |
Beaucoup |
Cristale : L'écho bleu de la nuit |
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Bonjour Cristale
Votre texte est parfaitement abouti dans la maîtrise de la poésie classique dont vous êtes La Virtuose.
Des strophes et images de grande finesse et musicalité ainsi :
"Des cascades d’embruns inondent la colline,
Comme les cheveux longs d’un archange ingénu
Que caressent les doigts de la brise opaline."
La fin enlac... (18/3/2018) |
Passionnément |
Lylah : Au large de l’attente |
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Des passages et images très denses, chargés d'une tristesse impuissantel à se dire... comme tout ce qui est trop profond
"Lorsque les nuits de fièvre
cèdent en matins de cendre"
Les silences/espaces entre les strophes sont les respirations d'une personne en souffrance qui a besoin de reprendre son souffle.
La fin
"Puis
la peine ... (11/3/2018) |
Passionnément |
Lylah : Le secret des fleurs |
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Je suis souvent passée, silencieuse pour mieux respecter les paroles de fleurs si délicatement peintes dans ce ravissant "bal"
Sous votre plume magique, ces Dames-fleurs se parent et que le seul Monsieur-fleur ne peut que s'incliner... comme vos lecteurs devant tant de beauté! (10/3/2018) |
Bien |
Marite : Sangs mêlés |
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Je ne veux pas lire les commentaires avant d'exprimer au plus juste ce que j'ai ressenti à la lecture et relecture de votre poème : l'ensemble m'a plu par ses diverses répétitions (surtout de la deuxième personne) et résonnant pour moi comme un tam-tam martelant ainsi cette condescendance malgré l'appel mystérieux d'un autre univers.
J'ai moins... (23/2/2018) |
Passionnément |
Mokhtar : El Golea, oasis algérienne |
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Cette oasis se dessine peu à peu sous nos yeux, triomphante sur sa "pierre" mais "en souffrance". Dans les deux premiers quatrains les couleurs éblouissent " 'l'ocre" et l'azur du "firmament, l'émeraude, l'orange et la rose"
Je ressens ensuite un affaiblissement de la lumière, correspondant aux souvenirs nostalgiques de cette "âme nomade" et co... (18/2/2018) |
Beaucoup |
Lylah : Mémoire vive |
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Cette marine peinte en touches légères révèle à demi-mots une "attente" non précisée par l'auteur, ouverte donc à l'interprétation de chacun.
Personnellement j'y ressens l'attente de l'aimé, impression renforcée par la belle et dure image
"Agonie de silence
que ronge le soleil"
Malgré la dernière strophe, trop intellectualisée à mon goût,... (29/12/2017) |
Un peu |
dom1 : Elle... |
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Après une première strophe décevante, les vers
"Elle me tendit la main
où je posais l’oreille
pour écouter sa joie" insufflent au au poème une créativité qui manquait.
Leur reprise en dernière strophe contribue à l'ambiance poétique, dans l'ensemble de forme peu aboutie. (26/12/2017) |
Passionnément |
Damy : Stabat mater dolorosa |
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Ce texte, lu et relu à plusieurs reprises, me bouleverse par sa force tragique et dès le premier vers, la belle allitération en V
"Je vois le vent voler dans tes yeux verts de vagues" nous font voler ou voguer à tes côtés, dans la même émotion.
Le dernier quatrain est d'une beauté terrible où ta détresse, hélas trop sincère semble-t-il, liv... (16/12/2017) |
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