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Bien ↑ |
Cristale : Les sentiers perdus |
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Tout comme mon VDD j'ai été un peu désarçonné à la lecture des v3-4, ne sachant pas trop où poser ma respiration.
Dans l'ensemble ceci dit, j'ai beaucoup aimé après avoir craint dans la première strophe une énième ode à la Nature, qui ne m'a jamais vraiment touché par elle-même. Mais si vous vous servez de sa description comme d'une amorce po... (4/5/2021) |
Passionnément |
Miguel : Ah ! puisque c'est ainsi… |
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Génial !
Je vous ai trop rarement vu, Miguel, dans ce registre léger et humoristique où vous excellez. Voici un poème fin, cocasse, au rythme entraînant et à la prosodie parfaite : on oublierait presque qu'il s'agit d'alexandrins, tant le phrasé est naturel, conversationnel. La voix poétique nous parle comme à son vieil ami, et on a tout sim... (24/4/2021) |
Bien ↑ |
domi : Trop beaux yeux |
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J'aurais aimé plus de virgules dans la première strophe, par curiosité, pour savoir où l'auteur plaçait ses pauses dans la lecture. Du coup, c'est au lecteur d'en décider lui-même, car on ne peut pas ne pas prendre de respiration du v1 au v4.
J'ai senti une ambigüité sur le vers 6 : si le fruit fait référence à la beauté de l'être aimé, comme... (15/4/2021) |
Bien |
embellie : Vive la libre poésie |
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Quoi qu'on pense de l'art poétique, on ne peut qu'admirer ici la fraîcheur et l'enthousiasme du ton. J'aime beaucoup les vers "Il me suffit que les mots chantent / Peu m'importe s'ils chantent faux."
Les images sont mignonnes et plutôt bien trouvées.
Je suspecte fortement la voix de ce poème de ne pas être celle de l'auteur (et en vérité... (3/4/2021) |
Beaucoup |
Ioledane : Un petit peu de nous |
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Très beau poème, un peu hermétique parfois mais toujours intéressant et agréable à lire, à la construction subtile et au rythme charmant comme une chanson populaire. Une approche de l'amour tout en légèreté et délicatesse, un amour vainqueur des illusions, qui perdure malgré la mort des premiers feux, tissé par on ne sait quelle puissance mystér... (3/4/2021) |
Bien ↑ |
Miguel : Le don de ce bonheur |
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La mention des dieux au pluriel devrait suffire à prouver aux Oniriens que Miguel n'utilise la divinité dans ses textes que comme une fiction poétique, tantôt mono- tantôt polythéiste.
Comme toujours j'admire le classicisme épuré, quasi racinien des vers, sur un thème qui nous parle à tous. A partir de quand la vie aura-t-elle valu la peine ... (31/3/2021) |
Pas |
nelson : Le blues du Barça |
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Où est le Barça dans ce poème ? Où est le football ? Il n'y a qu'un blues abstrait et sans saveur, avec certes quelques images intéressantes mais aussi beaucoup de maladresses (le vécu qui coule, bof). Les vers sont trop gratuits, arbitraires, déracinés, ils pourraient convenir sans vraiment convenir à n'importe quel sujet, et ne sont pas partic... (31/3/2021) |
Beaucoup ↑ |
Myo : Les embruns de poussières |
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Oh, c'est beau !
Le plaisir de la métaphore, de la métamorphose, se fait pleinement sentir dans ce poème qui voyage immobile. Nous nous prenons littéralement de compassion (= "souffrir avec") pour ces arbres qui, tout comme nous en ces temps moroses, voudraient prendre le large. La cale vide de la quatrième strophe me fait penser à Baudelaire... (16/3/2021) |
Bien |
PlumeD : La reine barbare |
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Voici un morceau de cruauté étrange mais simple, qu'on prend plaisir à lire malgré son incohérence fondamentale et non-dissipée : comment cette reine arrive-t-elle à voir ce que voient les yeux de ses esclaves, si elle est aveugle ? Comment ça marche, ce truc ? Le "mais fallait-il la croire" me semble un peu faible, un peu paresseux de la part d... (6/3/2021) |
Beaucoup |
Quidonc : Huit notes qui font une gamme |
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Je viens juste ajouter ma voix au concerto de compliments. C'est un texte très agréable à lire, tout en musique et en finesse, où se confondent toutes les jouissances : du verbe, du son, des corps et des cœurs. Rien à redire, et j'adore le dernier vers qui clôture le poème avec légèreté et simplicité. (3/3/2021) |
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