|
|
|
Connexion
Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche
|
|
Beaucoup |
Castelmore : Comment ? |
|
Un sujet difficile à traiter sans tomber dans le déjà-vu. Ici, c'est fait avec délicatesse, sous forme de questionnement, par des images fortes.
"Comment (…) dire l'indicible?"
Et cette question qui nous taraude : comment être heureux malgré les malheurs du monde? :
"Comment dire l'amour à côté de ces tombes" (11/2/2019) |
Bien ↑ |
Raoul : Le tango a dû être inventé par un indécis |
|
Une atmosphère envoûtante. Des images entraînantes comme le tango. La lune qui va et revient. Un tableau qui réunit les mots, la musique et la danse. (10/2/2019) |
Beaucoup |
emju : Ton visage au bout des doigts |
|
Un poème simple, mais émouvant, authentique. On peut visualiser cette activité de broderie ou y voir une métaphore des souvenirs. Je ne peux m'empêcher de penser à la chanson "mon vieux", chantée notamment par Daniel Guichard (c'est un compliment) : "J'aimerais bien qu'il soit près de moi. Papa." (7/2/2019) |
Beaucoup |
Davide : Rose bleue |
|
Un poème original de par son thème et sa forme, qui donne la parole à la rose.
De belles associations : "Née de l'aube muette et d'un bris de diamant"?
"Du rêve d'un beau soir et d'un prince d'Oman" (6/2/2019) |
Beaucoup ↑ |
Marc-Antoine : Chien de quai |
|
Des images émouvantes dans un chant mélancolique. Et tout le paysage renvoie à la tristesse du narrateur. Une grande qualité de rythme, de sonorités, d'assemblage de mots. (4/2/2019) |
Beaucoup |
papipoete : L'autre image de Bombay |
|
Un poème très visuel où l'on observe tantôt le garçon dans le dépotoir, tantôt les rêves qui l'obsèdent. Peu de métaphores : des images précises et pleines d'émotions qui renforcent la cruauté de son existence, mais qui laissent aussi entrevoir de l'espoir. (2/2/2019) |
Bien ↑ |
ristretto : Tu dis |
|
Un beau dialogue avec le temps, la vie, le mystère, la poésie. Un lexique simple, mais profond : "les oiseaux grignotent le silence", "les eaux turquoise du ruisseau murmurent des berceuses depuis la nuit des temps."
Et un subtil alexandrin en guise de clôture. (31/1/2019) |
Beaucoup ↑ |
pieralun : Le presbytère |
|
Un petit bijou de poésie classique qui garde son intensité du début à la fin. Bravo et merci pour ce voyage envoûtant dans l'espace et dans le temps. (30/1/2019) |
Bien ↑ |
giclamon : Le lombric voyageur |
|
Le choix improbable du lombric fait sourire et nous emporte, avec des rimes originales : lombric-brick, Amériques-homérique...
Quelques longueurs à mon sens par contre (strophe 4 et moralité), des alexandrins pas toujours réguliers, même si ça n'était pas forcément le but. Malgré tout, cette fable moderne n'est pas seulement divertissante mais ... (29/1/2019) |
Beaucoup |
madawaza : La réponse |
|
Un texte intrigant et convaincant. Des images simples et séduisantes, et ce refrain mystérieux qui revient, inlassablement.
On aimerait l'écouter avec un accompagnement. Mais il est assez musical en soi pour continuer à défiler en nous. (25/1/2019) |
|
|
|
|
|
|