Les Évaluations de jaimme

Les évaluations de jaimme

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Un peu ↑	Dunkelheit : Miroir
	Un bonheur qui "pourrit"... quelle horreur. Mais si connue... Le sel qui guérit les blessures, c'est sûrement le vers qui m'a le plus touché. Guérir par la douleur. C'est malheureusement vrai, mais il vaut mieux, oh combien, guérir par le bonheur! Le verbe "virer" est un changement de registre un peu trop grand, il m'a un peu arrêté. Je ne c... (4/7/2010)
Bien ↓	fleurdevie : Moi qui ai tant rêvé de vous
	Une impression très mitigée: à la première lecture j'ai trouvé l'ensemble agréable, ludique, tendre, voire amoureux. Et puis j'ai voulu décortiquer et je n'ai pas réussi à trouver, à isoler, un vers plutôt qu'un autre pour soutenir cette impression. C'est là que j'ai réalisé que l'ensemble avait du charme, mais moins les parties. A part quelques... (1/7/2010)
Beaucoup	Amexin : Amexin
	Une vraie poésie. Où tout ce qu'il y avait d'important a été dit. Ce monde est donc celui de l'Amour plein et éternel. Immense regret qu'il ne soit pas de cette Terre. Immense bonheur de le savoir là, exister. Je n'ai rien à conseiller à cet auteur. Je le remercie, vraiment, de cette lecture et lui offre en retour un ressenti très fort. (1/7/2010)
Bien	itans : Terre de femmes...
	Un poème qui chante langoureusement à mes oreilles. Une musique occidentale pour un émerveillement oriental. Mais avec un fond plus exotique, un amour teinté de regrets et d'espoir ("Qu'un jour le souvenir reprenne son voyage"). Dans le détail je suis un peu moins friand: la seconde strophe fait un peu trop "touristique". J'apprécie partic... (1/7/2010)
Un peu	silver : Avant "Je"
	Une impression de frustration (de ma part) en lisant ce poème. Le thème accroche mon attention: ces faux-souvenirs, cet "âge d'or", intéressant. Mais rien derrière à part cet Eden, ce paradis des limbes. Une approche très religieuse, évangéliste ou hindouiste de la vie avant la vie. Juste une image rassurante (pour le narrateur). Oui, je reste... (28/6/2010)
Un peu ↓	Cortese : De quelques temps déjà
	Ce que j'aime dans ce long poème, long parce qu'il tend à décrire un quotidien et je l'accepte, c'est que la plainte face au travail énorme d'être maman n'annihile pas cet amour profond de ses sales moutards! :) Bon, sur le fond j'aime beaucoup. Je suis quand même beaucoup plus retissant sur la forme. Le poème est parsemé de belles phrases ("q... (28/6/2010)
Bien ↑	Thakis : À un amant jamais connu
	Un poème qui m'a touché. La première partie est éminemment forte. De belles formulations. Très belles pour certaines. Mais la seconde moitié, sauf quelques belles phrases, me semble trop longue, s'étire et s'affadit. J'aime ce jeu du désespoir qui fait dire que l'amour rêvé aurait été mieux que... Personne n'y croit, pas même la narratrice, ... (28/6/2010)
Beaucoup ↓	Reggio : Pipi dans la neige
	Le sens que je donne à ce poème, aidé de l'incipit, est celui du rejet du soi raisonnable. Le refus de grandir pourrait-on dire. L'enfant qui est en soi s'amuse comme un enfant tout en attendant le soi adulte. Celui-ci survient et détruit les aspects enfantins, mais le soi enfantin se rebelle et détruit définitivement (?), violemment et en s'amu... (26/6/2010)
Un peu ↑	rickapt : Deux vagabonds
	Pour la prosodie, je laisse faire les connaisseurs. Et ils l'ont fait. Je m'attache donc au fond. J'aime: "L’homme qui déambule a froid dans son estime !" Le suivant est un peu trop usité. J'aime ce "lazaret" qui intemporalise l'ensemble. Oui: d'ignorer le trouble du partage; et non une double négation... (à mon sens). J'en viens au tem... (26/6/2010)
Bien ↓	MCboulette : J'ai soif
	Ce type de bar ne m'a jamais donné soif! Ou bien c'est justement de boire dont a besoin le narrateur s'il est habitué de ce lieu, infâme bouge mais tellement pareils à de nombreux bar. En définitive le lieu n'est pas décrit, les repères sont identiques à ceux de milliers de bars. Beaucoup de sonorité m'ont accroché, cela a déjà été relevé.... (26/6/2010)

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