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Passionnément ↓ |
Camlai : Sganarelle |
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Un travail titanesque et de grande qualité.
Au départ le sujet me rebutait, à quoi bon nous resservir du Molière sous une nouvelle sauce ? me disais-je.
Mais finalement le texte me parait original, inspiré, bien construit.
Plein de vie, de passions tortueuses, avec toute l’ambiguïté de la relation entre Sganarelle et Dom Juan, et de beaux v... (30/11/2015) |
Beaucoup ↑ |
Automnale : Chez Madame Antonia |
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Un poème très vivant et plein d’humour. Des images bien rendues ; magnifique celle du chat noir.
« Lorsqu'elle vient me chercher » : « Elle » me dérange un peu, venant après le passage sur le chat, on ne sait pas tout de suite à qui il se rapporte. Bien sûr, le dit chat étant masculin, on ne peut que comprendre qu’ »elle » est Mme Antonia. N’em... (10/11/2015) |
Beaucoup ↑ |
Pimpette : Admettons… |
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Quelle plaisante spontanéité !
Et en bonus, un message : L’endormissement dans le quotidien et la mission de la poésie.
Pour renforcer la conclusion « ce n’est pas facile », j’éviterais de donner des droits à la poésie, donc j’inclurais « engueuler le néant » à la liste de ses devoirs.
Beaucoup aimé « les doigts de pied souriants sous la tab... (17/3/2015) |
Beaucoup ↑ |
Michel64 : Dentelle, vol et désir [concours] |
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L’anecdote est simple et amusante. L’écriture vivante. La chute savoureuse. Et tout le monde en sort content !
La construction des paragraphes est bien pensée. Le poème coule avec naturel. Je ne trouve vraiment rien à redire.
PS : Le titre a été modifié après ma lecture en EL. Je dois dire que je préférais le titre original. Celui-ci est je ... (15/1/2015) |
Beaucoup ↑ |
Lotier : Roue de la fortune |
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Les images se suivent, simples et vivantes, réjouissantes ou attendrissantes, dans cet éloge de la rondeur.
Le chat savant qui suit l’éléphant, le geai et le cocher, l’Homme Énorme et sa femme, le cracheur de feu amoureux de l'enfant-tambour... Le nain, les gitanes... Magique!
Le calligramme produit une forte impression, il épouse bien le ... (17/10/2014) |
Beaucoup ↑ |
Edgard : Effacement |
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L’idée de cet homme qui disparait progressivement - avec sa valise !- est superbe. On croirait un tableau de Magritte.
Surréaliste en tous cas. Avec cette forme d’humour absurde qui s’y associe naturellement.
Le milieu du poème (vers 10 à 18) me semble pourtant s’éloigner de son thème. (23/9/2014) |
Beaucoup ↑ |
Pimpette : Gardez ça pour vous… |
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Quel régal, comme c’est drôle et bien envoyé !
Je me délecte de « Un peu de nuit dans les idées » et de « Toujours pareil les autrement », mais vraiment du ton d’ensemble, d’où vous avez trouvé de la poésie « à Favouille les Mirettes ».
Ne pourrait-on pas mettre « pilonnée » au féminin, pour que ce soit la nuit plutôt que le bitume qui le soit... (11/7/2014) |
Beaucoup ↑ |
MissNode : Déambulation |
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Il est bien beau votre poème ! C’est dans la construction Action/Image, dans le rythme égrené, dans les correspondances inattendues, surtout celles des premiers vers. J’ai été moins sensible à certaines des suivantes, moins frappantes (comédie des heures, migraine des gens ou grâce des enfants....)
Mais la fin emporte, avec sa brisure de rythme... (11/3/2014) |
Beaucoup |
Meaban : Un doux capharnaüm |
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Quelle belle fluidité dans cette rêvasserie romantique ! Qui va parallèlement de pièce en pièce d’une maison et de contrées en contrées.
Je me suis arrêté sur « Au-dehors » qui ne me semble pas suffisamment surenchérir sur « Au loin ». Et sur « ...où tu me sourirais » qui fait rattrapage après « le sourire des filles ». (18/1/2014) |
Beaucoup ↑ |
funambule : Mort sur le trône |
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Ce poème traine sur mon Word depuis longtemps. J’y vais, j’y viens, je me demande ce que j’en pense.
Décidément, j’approuve !
La qualité de l’écriture.
L’antipoésie résolue du sujet.
La proximité de l’humour et de la mort. (21/10/2013) |
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