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Respy : Papier mâché |
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Je suis revenu plusieurs fois sur ce texte avant de savoir pourquoi je le ressentais si intensément. Du libre, mais très contemporain. C'est fort, expressif. Il y a une ambiance, un milieu particulier. Métro, gare, bus bondé ? J'aime aussi le réalisme des mots utilisés dont la simplicité renforce le texte sans que l'on se casse la tête à en cher... (14/12/2014) |
| Beaucoup ↑ |
MissNode : Le mal des mots |
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Dans ce beau texte chaque mot est à sa place. La composition est parlante. Elle témoigne d'un vrai style, très personnel.
Sur le fond, cela ressemble à un cri devant la difficulté pour découvrir les mots utiles, les mots justes pour que vibre une vraie poésie.
J'ai été époustouflé. On ressent le choc tellement c'est précisément expressif.
Jus... (12/12/2014) |
| Beaucoup ↓ |
Myndie : Zone rouge horizon noir |
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C'est toujours après qu'on se rend compte de ce qui a manqué pour faire de l'amour cet absolu tant recherché. Votre texte nous parle de l'usure du temps qui abime et affadi. Retrouver le matin initial, celui qui a transporté le désir,voila qui est bien difficile.
Il manquait peu pour un vrai poème classique.
Là réside de ma part un léger regret. (12/12/2014) |
| Bien ↑ |
esperluette : Bel automne |
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Même si l'automne est un sujet des plus rebattu qui revient régulièrement à cette période de l'année, je trouve ce texte très travaillé, et garni d'images qui haussent l'ensemble. Les introductions à chaque quatrain sur un thème ensuite développé finement permettent un abord original. (12/12/2014) |
| Beaucoup |
bonjour : Du fond du cœur |
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J'ai trouvé comme un écho de dérision, quand le mari cède devant l'amant avec un style de Brassens. Ce travail original use de la composition poétique d'antan pour construire un récit sur un thème des plus modernes. Très réussi.
Une question sur la 1ère strophe: C'est bien l'amant atteint d'un souffle qui a failli donner aussi son cœur ? (12/12/2014) |
| Bien ↑ |
Dyonisos : L'éternel souvenir… |
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J'ai apprécié ce texte qui évite l'écueil du larmoiement. C'est plus qu'un hommage, je le ressens comme un élan d'amour filial (du petit fils ou de la petite fille), un texte apaisé, une belle reconnaissance à cet aïeul dont on suppose que le narrateur ou narratrice ne l'a peut-être pas connu mais le garde dans son coeur par un amour familial qu... (12/12/2014) |
| Beaucoup |
Cristale : Nous le verrons ensemble |
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Dans ce beau sonnet, j'aime tout. Son phrasé, ses rimes, son expressivité. Je ne citerai donc pas de passage en particulier.
Bémol, j'aime tout à l'exception de ce 15ème vers qui me semble peu utile et qui dénature l'ensemble si agréable jusque là. J'avais noté cet aspect pour me rappeler ce ressenti à faire valoir en cas de publication quand j... (30/11/2014) |
| Beaucoup ↑ |
Fanch : J'ai l'idée d'un printemps… |
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J'aime ce texte qui se déclame comme un monologue, une réflexion à haute voix. Il est expressif, lumineux, sonore et visuel à la fois.
"J’ai l’idée qu’il faudrait qu’enfin, je m’appartienne,
Libéré, sinon fort de vouloir un destin
Qui resterait conscient de tout ce qui l’aliène
À seule fin d’oser prendre un autre chemin."
Tout est à l'uniss... (28/11/2014) |
| Bien ↑ |
Cox : À Alex |
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Niaiserie de collège ? Je ne crois pas. J'ai trouvé de l'expressivité dans ce texte amoureux ou je ne décèle pas la grandiloquence qu'on lit souvent dans les poèmes de jeunesse.
Bien que je n'apprécie pas toujours les néologismes j'ai apprécié ce litaniant dont on comprend immédiatement le sens.
Un parmi les passages que j'ai aimé lire et d... (25/11/2014) |
| Beaucoup |
papipoete : Sœur de bois, de cordes |
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J'ai vu dans ce texte que j'ai apprécié un peu comme une chanson triste. Le dernier quatrain, quand le feu du musicien s'étiole est de toute beauté. Reste le musicien désespéré qui se consume (au figuré) à côté de la guitare qui git à terre. (24/11/2014) |
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