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Les évaluations de senglar

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Beaucoup ↑ Curwwod : Châteaubriant, le 22 octobre 1941
Bonjour Curwwood, On n'ose pas dire que les vers de ce sonnet coulent de source, non sans une certaine délectation, quand on en sait la fin - titre oblige -. On se sent solidaire et on s'identifie aux centres d'intérêt et d'émotion passion, on a été cet homme jeune avide d'avenir, d'amour et de savoir, d'atermoiements et de livres ; on ... (15/2/2019)
Beaucoup ↓ Sarah_K : Le pont
Bonjour Sarah_K, Cette poésie m'a laissé pensif... L'amour par-delà la mort, la fusion amoureuse après la mort - sereine -, l'éternité d'un amour exclusif - simple -. Mais pourquoi y convoquer ces pontes - je m'interdis poncifs - que sont le Styx et Charon. Je préfère le quatrain suivant où l'on arrache le roncier - sale bête (lol) - ... (15/2/2019)
Beaucoup ↑ STEPHANIE90 : Canard qui se « mare »
Bonjour STEPHANIE90, D'une incontestable bonne humeur - car le drame y est vaudeville au sens ancien du terme - votre poème tout empli d'énergie, de vivacité, de drôlerie m'a littéralement décoiffé. Ecriture très vivante, entraînante, sautillante. Un bol de fraîcheur et de charmante innocence ! senglar (14/2/2019)
Beaucoup ↑ Eki : Doucement, tout se délie
Bonjour Eki, J'ai eu l'impression à première lecture que le poème s'assombrissait et dans le sens et dans les sonorités à mesure qu'il se déliait ('délitait' serait péjoratif mais techniquement...), les deux vers de la fin tombent 'sur' un couperet - je vois une tête sous un couteau de guillotine (lol) -. J'ai trouvé tout cela remarquableme... (13/2/2019)
Beaucoup ↑ Ithaque : Longs baisers de plume
Bonjour Ithaque, Comme quoi une soeur aînée est un exemple à suivre car elle est souveraine dans les jeux du coeur. Etonnant prénom que celui de Bertille, il y a du suranné dedans, de la douceur aussi, une odeur de campagne et d'innocence. Lecture très fluide, agréable et plus encore après avoir cherché glume et ardillon... et puis aussi... (13/2/2019)
Pas Sansberro : Lourdes
Salut Sansberro, Moi qui suis l'athée absolu, "Lourdes... lourde...", je n'admets pas cette charge, vous choisissez votre taureau et de plus vous lui bandez les yeux. Cette prévenance est malvenue alors que l'infâme voltairien n'en finit pas d'être écrasé. Quel qu'il soit on ne frappe pas un homme à terre (sauf Pie XII évidemment). Le le... (12/2/2019)
Beaucoup ↑ emilia : Petits bonheurs d’été à mettre en cage…
Bonjour emilia, C'est travaillé, très... et cela mérite un immense respect. Mais pour cette poésie c'est un travail d'artisan... où certes je me complais, mais comme Monsieur Jourdain - ou Prud'homme ou un autre... - moi qui qui aimerais tant être Villon mais n'arrive pas à sauter plus haut que mon cul, avecques vos ambitions vous m'outrepa... (12/2/2019)
Beaucoup ↑ Annick : Le baiser glacé
Bonjour Annick, Cela pourrait être morbide, ça ne l'est pas. Nos Anciens prenaient des photos des défunts sur leur lit mortuaire, montraient des mèches de cheveux des trépassés - c'était de la tendresse - un dernier adieu, un prometteur au-revoir. J'ai vécu ce poème comme une histoire d'amour, le pétale de rose vaut mieux qu'un liseré. Les ... (12/2/2019)
Bien ↑ Vincente : Cette langue d'eau
Bonjour Vincente, Où l'auteur se prend au jeu des mots par le jeu des assonances..., en se laissant aller parfois à l'écriture automatique..., en générant des mots qui se ressemblent..., en se servant de l'accumulation..., etc..., et où je me suis laissé prendre, après avoir voulu être récalcitrant, à un certain jeu hypnotique, une certaine... (12/2/2019)
Passionnément SaintEmoi : De l’apoptose ou du suicide cellulaire
Bonjour SaintEmoi, Quand on a lu ça on n'a plus peur de mourir ni même de se dire : Tiens je relirai bien Kafka et sa métamorphose. Pour l'amour des cellules on se dit qu'il est bien triste : Bof ! des mitoses ! les pauvres qui nous permettent de vivre de sublimes extases. Chaque être humain est un esclavagiste ! Du moins celui-ci décern... (12/2/2019)
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