Un petit qui promet.

Arthur devrait être là depuis plusieurs jours maintenant, des jours d’attente et d’angoisse qui s’ajoutent aux longs mois d’absence pendant lesquels elle ne l’a pas vu, pas touché, pas goûté. Des mois d’absence de son homme parti elle ne savait où, quelque part dans un pays en proie à la guerre civile.

J’ai développé cette histoire dans une optique fantastique, à partir d’une anecdote, peut-être légendaire, concernant les funérailles du roi des Wisigoths, Alaric le Grand.

S'il vous plaît, éteignez les étoiles.

Dans ce texte, le soi-disant auteur n'est qu'un rêveur.
Le fameux tableau Night Hawks d’Edward Hopper sert de cadre à ses romans policiers.
Il rôde en face du bar et doit annoncer cette nuit-même à ses trois vieux personnages qu’il les abandonne en d’autres mains.

Où il est question d'une femme, d'un homme, d'enfant, et de morts.

Démons et merveilles de la contemplation.

Il était une fois, dans une contrée dont il était raconté que la sauvagerie et la méchanceté s’y disputaient les jours, et que l’abomination et le chagrin s’y disputaient les nuits...

Un mur oublié sur lequel sont collées des affiches... un peu trop...

Quand la fuite des rails devient évasion définitive.