Bonjour à tous ! Je sors du bois pour m'exposer à la critique, par envie de progresser sans doute. J'écris des poésies qui ont pour sujets de petites gens, sans grand relief, souvent miséreux. Merci de votre lecture attentive.
"À l'heure, si sombre encore, de la civilisation où nous sommes, le misérable s'appelle l'homme ; il agonise sous tous les climats, et il gémit dans toutes les langues…"
Faut-il que le noir s'installe pour qu'il irrigue les lieux de vie ? Oui et non, mais c'est la nuit qu'il est plus le disposé pour faire fonctionner l'imagination, les fantasmes en donnant aux acteurs de son scénario le souffle des sensations…