« Tout s’effrite. Nous l’ordonnons à nouveau et nous tombons nous-mêmes en poussière. Qui donc nous a retournés de la sorte que, quoi que nous fassions, nous avons toujours l’air de celui qui s’en va ? En haut de la dernière colline, celle qui Pour une dernière fois lui fait voir toute la vallée, Il se retourne, s’attarde – ainsi vivons-nous, faisant sans cesse des adieux. » Rainer Maria RILKE
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