Métaphore par le voyage dans l'action, j'ai tenté un poème de notre humanité conscience et du mépris de notre animalité objet. Inertes sans vie, morts sans liberté.
L'usage de notre liberté n'est-il pas fait à mauvais escient ?
À quand la grande réconciliation de l'homme et de l'animal ?
L'au-delà, inconnu de nos sens, appartient-il au sensible ?

Ce n'est pas un collier comme les autres.

L'histoire d'un homme découvrant le corps de sa femme sans vie, éteinte en lisant l'Odyssée…

Quelques moments où l'on n'est jamais contraint, quelques instants de nos heures asservies quand on est enfant, adolescent, adulte et vieillissant… Le diable est dans les détails…

Tout ceci n'est bien sûr que rêve et poésie.

Ne sommes-nous pas trop proches du cochon pour le manger ?

Les souvenirs de ce que l'on est, de ce que l'on fut, sont-ils ceux de nos périodes "mutantes" et de quel avenir témoigneront-ils ?

...

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« Belle au présent d’un temps jadis. »

Contraste entre l'évidence des choses dans lesquelles on se complaît et la complexité des vies que l'on veut ignorer, nous empêchant d'exister vraiment.

Il pleut.

Impression du côté de Giverny…

… Un chant d'amour.

Nouvelle vie.

Souvenir d'école et d'un amour courtois.

Vingt ans ! Ce n'est le plus bel âge de la vie que pour ceux qui ont déjà vieilli…

Sonnet faux, comme la vie.

Souffle de liberté.

« Give your love, live your life, each and every day. »
Abbey Lincoln

http://www.youtube.com/watch?v=j2OO3vuk3r4