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Bien ↑ |
LeopoldPartisan : Mots à maux |
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Je n'ai pas ressenti la longueur annoncée, alors peut-être que je me suis trop laissé surfé sur la vague des maux.
La première strophe ne m'a pas parlé je l'ai traversé comme l'estran en partant me jeter dans les vagues océaniques. La pluie, le regard et les bivalves et gastéropodes sont restés des mots sans maux.
Ensuite j'ai glissé dans tes... (24/1/2019) |
Beaucoup |
Pimpette : Je larmiche en moi-même… |
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belle ritournelle pour cette crise dite de la quaran-t'haine; les vagues déferlent naturellement. Les mot sonnent justes à en regretter de ne pas gouter d'une version mise en musique. (16/7/2014) |
Bien |
Dyonisos : Les dépressifs… |
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La dépression, c'est comme le reste, ça mène a tout, à condition d'en sortir.
Le texte dans sa forme est léger à l'instar de l'angle pris pour traiter ce qui peut être aussi un sujet douloureux.
La jolie petite histoire file se jouant des nuages, du doping, et des conventions, et ma foi, offre un sourire.
Je l'ai lu comme une petite fable d... (25/6/2014) |
Passionnément |
Pluriels1 : Aquarelle pour deux amants |
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D'une contrainte auto administrée et forte l'auteur se joue en douceur avec panache. Les rimes entrelacées sont à l’unisson du fond. Rien ne semble forcé et tout coule comme de source. L'ambiance titille tous les sens.
L'ensemble est subtilement cru, la lecture est vivante, prenante enivrante, délicieuse.
Wouahou , wouahou !!!
je m'en vais ... (23/6/2014) |
Passionnément |
Miguel : Je l'eusse cru du roi |
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scotché,
une technique respectée, une idée qui ne l'est pas moins de bout en bout, un peu de dérision et d'amusement, du fond aussi... Que manque-t'il ?
Rien, me direz vous, détrompez vous en raclant bien les fonds de tiroir j'ai trouvé quelque chose qui n'y est pas, du sang et des larmes. En même temps force est de reconnaitre que c'eut été... (18/6/2014) |
Bien |
MissNode : Mimodrame |
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Ce poème, je l'ai trouvé délicat et doux comme un pastel. Bien qu'ayant un goût plus tourné vers la poésie qui "dissèque plus la viande" j'en ai apprécié la lecture. Avec ravissement j'ai enchainé les dernier vers de chaque strophe pour y retrouver, en condensé, l'intégralité du sujet traité.
Je reste un peu dans l’expectative quant au sens gl... (10/6/2014) |
Bien |
Dyonisos : Les yeux… |
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Dans une forme qui a ses contraintes, les ressentis sont venus bien posés, et chaque état d'âme trouve une juste place.
Pas de grandes envolées, ni de révolution dans les mots mais de la sobriété. Le risque de sur faire était là , il a été bien évité.
Tout est dit sans froisser la pudeur.
Le dernier vers ouvre une fenêtre sur le vécu et... (6/6/2014) |
Passionnément |
Charivari : Ce rien qui nous fait peur |
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évidemment que la mort c'est rien, comment avais je pu l'oublier ? Ici les mots coulent de source et je les ai bus avec délectation. (3/6/2014) |
Bien |
Francis : Et tourne le moulin |
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Sympathique petite petite balade champêtre au fil de l'eau. Le calme et la sérénité bucoliques sont comme soulignés d'une valse à deux temps. Comme les tours de pales du moulin, comme les deux rimes qui repassent en rythme.
Un petit moment apaisant bien emmené où la contrainte du chemin pris n’empêche point de rêvasser en plongeant dans le ... (3/6/2014) |
Beaucoup |
wancyrs : Je n'aime pas… |
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poésie ou pas, je me suis posé la question. je ne sais pas, mais de toute façon c'est sûr que c'est pas une nouvelle. Et puis merde, il fallait bien qu'il soit publié sinon j'aurais pas eu plaisir de le lire. Et je m'en fous de la catégorie, moi je lis, après tout c'est le boulot du CE d'accepter ou pas en fonction de la catégorie demandée....... (25/5/2014) |
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