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Beaucoup ↑ |
Castelmore : Fureurs |
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Bonsoir Castelmore,
Quel cri! De désespoir, de douleur, de fureur contre le destin qui fauche à l'aveuglette.
Les images sont fortes, l'émotion nous prend à la gorge sans desserrer son étreinte avant la fin du poème, bravo!
"Dans cette glaise froide où j'ai posé ton corps,
Je rampe, je me tords, je creuse vers le fond.̷... (18/3/2020) |
Beaucoup |
Stephane : Urban city |
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Bonjour Stephane,
Le rythme des premiers vers, en alexandrins (ou presque mais on s'en balance) et leur contenu évoquent de prime abord le poète romantique rêvant sous la lune. Très bonne entrée en matière, je trouve. Ce qui suit n'en est que plus brutal.
Bien aimé le fait d'avoir placé ce personnage à mi-chemin entre le bitume et les étoi... (17/3/2020) |
Beaucoup ↑ |
apierre : Le lasso |
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Bonjour,
j'aime beaucoup, c'est simple, concis, poétique. La métaphore est originale et très bien trouvée.
J'ai bien apprécié le début qui sonne comme une didascalie, son rythme rapide et sans fioriture. Le découpage qui s'ensuit, en trois actes, n'est pas non plus pour me déplaire.
Bref, un texte court très réussi à mon sens.
À vous r... (26/11/2019) |
Bien ↑ |
hersen : Skull éthique |
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Bonjour,
un texte très visuel. Je me suis laissé berner par la première strophe, qui laissait présager un poème sombre et dénué de second degré. La suite m'a rassuré, je suis particulièrement friand de cet humour noir qui s'installe dans le deuxième quatrain. De belles trouvailles poétiques jalonnent votre écrit :
"De siècle en siècle
au ci... (26/11/2019) |
Passionnément ↑ |
Cristale : Les noces blanches |
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Bonsoir Cristale,
je suis impressionné, sincèrement. Votre poème est empreint d'un érotisme qu'une certaine morale réprouverait (d'autant plus qu'il s'agit d'une femme qui perd sa fleur avec un homme relativement âgé !) et pourtant, quelle délicatesse, quel raffinement, quelle poésie dans la manière de rapporter cet événement!
Tous les sens ... (13/10/2019) |
Beaucoup |
Robertus : Abîmé |
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Des vers saisissants, des propos tranchants et tranchés, j'aime beaucoup. J'ai d'emblée pensé au téléspectateur d'une émission de télé-réalité : "le néant de la vie des autres qui défile à l'écran"; "les yeux ivres de vain". Quant à la "voûte binaire de ses instincts les plus bas", elle m'évoque les jugements lapidaires, violents même, que ce ge... (13/10/2019) |
Un peu ↓ |
Lebarde : Déjà vingt ans tu as |
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Bonjour,
bien que n'étant pas spécialiste de la forme classique, je note d'emblée un hiatus dès le titre ("tu as") et qui se répète dans votre texte. Par ailleurs "Ne crains pas tes rêves, tu peux tout projeter", ne respecte pas la césure à l'hémistiche.
Je trouve, dans l'ensemble, que le thème ronsardien sur la nécessité de "cueillir dès ... (26/9/2019) |
Passionnément |
Pouet : Cœur de terre |
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Bonjour Pouet,
j'ai hésité à commenter tant il m'est impossible de me hasarder à une quelconque exégèse de ce texte. Et pourtant, vos vers me sont arrivés à l'âme sans détour, ainsi que peut le faire une musique dont on ne saurait dire pourquoi elle nous émeut.
La beauté de certains vers, pour moi, se suffit à elle-même :
"Je tresse les nerv... (24/9/2019) |
Beaucoup |
papipoete : Joyau dormant [Sélection GL] |
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Bonjour Papipoète,
Une poésie sur l’imaginaire enfantin que l’on met un point d’honneur à sauvegarder. Cela peut paraître anecdotique et pourtant, quoi de plus essentiel, de plus poétique que le regard constamment ébahi d’un enfant ? Et le grand-père est lui-même poète, il n’a pas oublié l’enfant qu’il fut.
L’hexasyllabe sied merveilleusement... (19/9/2019) |
Beaucoup ↑ |
BeL13ver : Tousse laids mêmes |
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Bonjour BEL13VER
Eh bien, quel coup de gueule ! Je ne saurais choisir entre les deux propositions de l’exergue. Je dirai donc accès de colère légitime.
Concernant la forme, je trouve vos vers très bien ciselés, c’est du beau travail. Mon quatrain préféré est le suivant :
« Entre le macaron, le teigneux et le flan,
Il semble que l’honneur, se... (19/9/2019) |
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